Le site Patrick Valas etalonneur d’Icare courage continuons.
jacquespeare’s ICCARRE résumé …si clair qu’on ne le saura jamais.
ICCARRE[1] QUATUOR[2] AND THEIR NOVAS ANNOUNCE
THE END OF THE CONSTRAINTS OF DAILY TRITHERAPIES
1980–1995, HIV AIDS REX TREMENDAE, evil spreading terror … 15 years of embers, regrets, ashes, bereavements
1994-2000… Then came the tritherapies : Retroviral Stalingrad ! for the first time, HIV the Dragon-Eagle dropped its head.
Alas ! They are not cured … With those unending drugs, the future of patients will last them long.
And because it shall long last, too much should not weigh. Let’s find a crack in HIV armor and let the light get in
1999-2000, miracle in Bethesda … operation-commando with ten volunteers whose HIV had been under antiretroviral control since semesters
Seven days without Pharma, the next seven with, 280 jumps without anti-HIV parachute over a year, in 9 of the 10 volunteers, HIV did not show its spikes
2002-2003 and the following years, in Garches : on a mode less stuntman, the prodigy gets tentatively reproduced
One day two days three days / off antivirals, and the retrovirus does not show up
2010-2015 at FASEB Journal, 2 ICCARRE publications about 48 and 94 patients … … 2 without fault.
2015, 4D, ANRS, the National Agency for AIDS Research France joins the fray with its 4 days/week trial on 100 patients from 17 centers : that does it cool too !
Against established prejudices borne by conventional wisdom : "only uninterrupted observance of treatment … Any interruption can lead to resistance and death
ICCARRE offers its Week-Ends with Lesser Pain as HIV Wants it Well
ICCARRE rainbow colors deploy a soothing 4 days a week flag
While leashed in like a hound, HIV remains all petite
That one which once imposed its cruelty laws, how does it look like now
But a 2-pill-bleached lion cub, down at heel under intermittent treatment
For we have seen it too often making pauses, taking time, for us not to recommend our own truces
Paced as hardly less intermittent than it is
Time then to adjust our Texts and Prescriptions to the pacification mode
Go for it men without adding more,
Master juries of science, true perjury doctors
[1] Intermittents, en Close short Cycles, Anti Retroviraux may Retain Efficacy
2 QUATUOR ANRS 170 : in the numbers of patients (640), as well as those of public hospital centers involved (63), the most imposing French institutional trial against HIV VIH over a decade
image002.jpg
[1] Intermittents, en Cycles Courts, les Anti Rétroviraux Restent Efficaces
[2] QUATUOR ANRS 170 : en nombre de patients (640), comme de centres hospitaliers impliqués (65), le pus imposant essai institutionnel français contre le VIH depuis plus d’une décennie.
Message transféré ----------
De : « Charles Edouard (prise hebdomadaire unique) »
Date : 1 mai 2017 09:37
Objet : [Trithérapie en prise unique hebdomadaire] au dela de 1/7
À : <jacques.leibowitch chez gmail.com>
Cc :
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Ce blog n’est pas un conseil médical
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L’autre côté du Miroir 1/7
Par Charles-Edouard !
Hommage appuyé à Patrick Valas, bloggeur premier d’ICCARRE : l’unique mention connue sur mieux que 1/7 !
Dixit Leibowitch :
La poire entre les deux : 2 jours sur dix jours, puis sur douze, puis sur 14…2 jours une semaine sur 2, je prendrais bien le pari, mais… ON NE LE FAIT PAS ENCORE !
Ils l’ont rêvé, Charles-Edouard l’a fait ! Trithérapie en prise unique hebdomadaire unique au-delà de 1/7
L’Éclipse dure… de 7 à 35 (*) j…Alors…
{{}}
# prise 1 / X CV
1 7 <20
2 9
3 9
4 9
5 9
6 9
7 9
8 11 <20
9 11
10 11
11 11 <20
12 11
13 11
14 12 <20
15 11
16 11 <20
17 14
18 13 <20
19 14
20 15 <20
21 14
22 14 <20
23 14
24 14
25 15 <20
26 16
27 17 <20
28 17
29 19 <20
30 22 <20
31 20
32 22 <20
33 27 20<CV<200
Évidemment, la protocolisation veut qu’on se limite à 1/7... Oui, mais la Quadri de Leibowitch, c’est de la bombe ! Et ça marche nickel. Quand on est dans le bon alignement des astres, qu’on est pas tenus aux injonctions du Maître, qu’on écrit régulièrement sur le 4/7, le 1/7, eh, bien, on se pose nécessairement la question d’au-delà du 1/7 : Exactement comme Leibowitch l’a évoqué ; 2 ou 1/10, puis sur 14, etc… On va aller chercher les limites de son propre système, et puis s’y adapter.
Son miracle, c’est l’Éclipse
Tel ou telle, inféodé ou pas même concerné, ne fait pas la loi : C’est le Virus qui décide en maitre absolu, et son miracle, c’est l’Éclipse.
Tant que le Virus ne remonte pas, il ne remonte pas : c’est aussi simple que cela. Il n’y a pas de prédicteur fiable connu, pas même l’ADN proviral comme l’a démontré, à contrario, CHUN à Toronto : surtout on s’en fout : on mesure l’Éclipse, puis on décide.
Le tableau ci-contre est mon planning ICCARRIEN au-delà de 1/7, avec des 1/X qui vont, sans le moindre blipounet, jusque 1/22, tranquille… Au-delà, à 1/27, ça saute… Bon… Dont acte… Les 190 patients éligibles et observants ont ZERO échecs intrinsèques en 4/7, et voilà qu’on ergote pour lancer l’essai QUATUOR !
Dans cette manip, j’ai appris plein de choses…
Rétrospectivement, j’aurai mieux fait de faire l’arrêt analytique, par pas d’une semaine : Ananworanich nous dit que la moyenne est à env. 21 j. : je suis juste un patient moyen ! Rien d’exceptionnel ! Et c’était avant l’arrivée de Dolutégravir (Tivicay ®) qui ouvre de nouveaux horizons.
Bon… Du coup quand, je m’entends dire que je suis à la remorque, derrière Leibowitch, ça me fait sourire doucement… Ce n’est pas un concours de beauté. C’est une stratégie basée sur les faits observables : j’ai une éclipse d’un peu moins d’un mois, du coup je règle le curseur à 15 j.
Avec le bon vieux brevet, j’ai quand même fait près d’un an à 1/14 et mieux, comptez les jours sur le tableau ;-)
Je viens de passer la balise de validation du génial Tivicay® 50mg + 3TC 300 mg, 6 mois : 5 mois en Sam. + Dim. et 1 mois en Dimanche double dose : toujours < 20 !
Nous sommes le 1er Mai et je me lance à nouveau dans le 1/15, c’est à dire, la rémission-24 (j’expliquerai…) avec une toute nouvelle méthode.
Et les conseils de Papy Péronne, qui dit d’attendre la fin de l’étude, puis de la suivante, et puis que sais-je encore, je me les mets là où ils méritent d’être !
Bonne fête du Muguet, bonne bourre, et pas trop de médocs ! Ok ?
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Envoyé par Charles Edouard (prise hebdomadaire unique) dans Trithérapie en prise unique hebdomadaire le 5/01/2017 09:37:00 AM
De : journals chez faseb.org [mailto:journals chez faseb.org]
Envoyé : mardi 3 février 2015 16:30
À : LEIBOWITCH Jacques
Manuscript Decision
The FASEB Journal
MS ID : FASEBJ/2014/260315
Title : Four Days A Week Or Less On Appropriate Anti HIV Combinations Provided Long Term Optimal Maintenance In 94 Patients. The ICCARRE PROJECT
Dear Dr. Leibowitch :
I am pleased to inform you that your manuscript has been accepted for publication in The FASEB Journal.
. Assuming all files are in order, you should receive page proofs within the next 30 days.
Congratulations on the imminent publication of your article. You may wish to share the good news with your institution’s media relations department.
We greatly appreciate your contribution to The FASEB Journal and hope you will consider us for future papers.
Sincerely yours,
Gerald Weissmann, MD Editor-in-Chief The FASEB Journal
ATION De : LEIBOWITCH Jacques
Envoyé : mardi 3 février 2015 16:47
À : ’journals chez faseb.org’ ; George, Chanel ; Susan Moore
Cc : MATHEZ Dominique ; LE DU Damien ; MELCHIOR Jean claude ; CARCELAIN Guislaine ; Jacques Izopet ; PERRONNE Christian ; John robert David
Objet : RE : FASEB Journal - Manuscript Decision
DEAR FASEB JOURNAL….
WELL… THANK YOU FOR THIS FINALIZATION MOMENT OF ALL SORTS …
THANK YOU FOR YOUR RESILIENTY SUPPORT …
I FEEL TEMPTED TO THEATRICALLY UNDERLINE that HISTORICAL MOMENT in the history of HIV AIDS TREATMENT indeed !!!
MERCI PROFESSEURS WEISSAMN MERCI JOHN …
NOUS VAINCRONS CAR NOUS ETIONS LES MOINS FORTS
SINCERELY YOURS INDEED
DR LEIBOWITCH
Dernière info du 29 mai 2015
De : arounadoro Envoyé : vendredi 29 mai 2015 11:58
À : LEIBOWITCH Jacques Objet : Contact.
Bonjour cher confère c’est Dr DORO.
J’espère que vous êtes bien rentré en France.
J’ai été très content et comblé de votre présentation à Abidjan.
Je serai ravi de vous appuyer dans ce combat qui ne vise qu’à alléger la souffrance morale et les contraintes de nos patients.
Je fais de la prise en charge des patients vivants avec le VIH depuis 2008.
Certes c’est pas beaucoup mais j’ai constaté que les traitements intempestifs et quotidiens sont moralement destructeurs moralement pour nos patients et réduisent quotidiennement leur qualité de vie.
Nos patients considèrent le traitement quotidien comme une punition.
Je serai par conséquent je serai heureux de participer à ce travail.Bonne journée
Dr DORO DES NÉPHROLOGIE CHU YOPOUGON ABIDJAN RCI : Tant qu’il y a la vie,il y a l’espoir car seule la mort transforme la vie en destin.
LEIBOWITCH Jacques
Envoyé : vendredi 29 mai 2015 11:58
À Monsieur DORO Cher confrère merci de votre soutien enthousiaste…
Je prends acte du témoignage des patients quant à leur punition ressentie à la prise quotidienne des médicaments
ICCARRE cependant, même s’il soulage en effet cette contrainte inutile, n’est pas d’abord une intention de faire moins mais plus simplement de ne prescrire que ce que le réel HIV commande - et prescrit …
Ci-joint le diaporama animé présenté au TEDxAbidjan du 25 mai dernier avec son texte d’accompagnement …
Où les principes même du pourquoi ICCARRE se résument à ….
.PARCE QUE dans cette deuxième phase de traitement où la pacification immunitaire et le retrait massif sur VIH allongent très sensiblement les temps de rebond au-delà de 7 jours, HIV LE VEUT BIEN ……
Restons en contact s’il vous plaît pour de futurs développements quand vous voudrez et d’abord vous aider à implémenter ICCARRE comme modalité « normale ordinaire » de prescription du traitement d’Entretien Maintenance
Bien cordialement
Dr Leibowitch
Ps Pour Maître Tang (et vous-même peut être aussi), j’ai joint un compte rendu de presse autour de notre dernière conférence à Garches (APM News) plus un dossier images texte autour de la soirée à la maison Jean Paul Gauthier du 1er décembre dernier.
JL à Monsieur DORO
Cher confrère merci de votre soutien enthousiaste…
Je prends acte du témoignage des patients quant à leur punition ressentie à la prise quotidienne des médicaments
ICCARRE cependant, même s’il soulage en effet cette contrainte inutile, n’est pas d’abord une intention de faire moins mais plus simplement de ne prescrire que ce que le réel HIV commande - et prescrit …
Ci-joint le diaporama animé présenté au TEDxAbidjan du 25 mai dernier avec son texte d’accompagnement …
Où les principes même du pourquoi ICCARRE se résument à …PARCE QUE dans cette deuxième phase de traitement où la pacification immunitaire et le retrait massif sur VIH allongent très sensiblement les temps de rebond au-delà de 7 jours, HIV LE VEUT BIEN ……
Restons en contact s’il vous plaît pour de futurs développements quand vous voudrez et d’abord vous aider à implémenter ICCARRE comme modalité « normale ordinaire » de prescription du traitement d’Entretien Maintenance
Bien cordialement
Dr Leibowitch
Ps Pour Maître Tang (et vous-même peut être aussi), j’ai joint un compte rendu de
presse autour de notre dernière conférence à Garches (APM News) plus un dossier images texte autour de la soirée à la maison Jean Paul Gauthier du 1er décembre dernier
Dernières infos ICARRE du 27 décembre 2014 :
MERCI aux LANCEURS LANCEUSES d ICCARRE en HUBRIS ET ORBITE …
Le 20 heures du 30 novembre 2014 - TF1 Replay videos.tf1.fr/jt-we/…/le-20-heures-du-30-novembre-2014-8525222.html En cache
30 nov. 2014 - Retrouvez le journal de 20 heures du 30 novembre 2014. … Présenté par Anne-Claire Coudray. Accueil · Tous les …. C’est le défi que s’est lancé le docteur Jacques Leirowitch avec le projet Iccarre. … Le 30/11/2014 à 23h09.
Le 12/13 de France 3 : journal télévisé du 1 décembre 2014 …www.francetvinfo.fr › Les JT › Les JT de France 3 › 12/13
1 déc. 2014 - Revoir le 12/13 du lundi 1 décembre 2014 en replay. … le journal tv de la mi-journée présenté par Samuel Etienne sur France 3. … Sida : l’allègement des trithérapies est testé … En direct JT de 13h du lundi 22 décembre 2014.
Sida : malade depuis 30 ans, et en forme - 28 Minutes - Arte 28minutes.arte.tv/blog/chronique/sida-malade-depuis-30-ans-en-forme/ En cache
Carla Bruni - 14/12/2014 - News et vidéos en … - France 2 www.france2.fr/emissions/vivement-d… 14 déc. 2014 - : Michel Drucker reçoit Carla Bruni dans le fameux canapé rouge de Vivement Dimanche. … lutte contre le sida
VIDEO. Sida : l’allègement des trithérapies est testé www.msn.com/fr-fr/actualite/france/…ègement…/vi-BBgczOX ?…1 déc. 2014 –
100 000 personnes sont sous trithérapie en France, mais seulement 200 … VIDEO. Sida : l’allègement des trithérapies est testé … France 24.
Images intégrées
De : LEIBOWITCH Jacques
Envoyé : dimanche 14 décembre 2014 22:35
À : ’gmail’
Objet : RE : ICCARRE 1er décembre …
BIEN RECU PAR LES AMIS D’ICCARRE le mercredi 10 décembre 2014 08:38
Re : ICCARRE 1er décembre …
DECEMBRE MERCIIIII
Voyez en replay le vivement dimanche Drucker Carla bruni du 14 décembre
Vous verrez notre ICCARRE en passe de s’envoler au dessus des coucous frileux dans leurs nids.
Merci encore de votre fidèle et généreux soutien, grâce à vous, nos créanciers seront (secrètement) honorés.
Nous vaincrons
Bien cordialement
Images intégrées ! chose promise chose due je vous ai transfere 5000 euros le 1er decembre8
H
Le 9 déc. 2014 à 10:34, LEIBOWITCH Jacques a écrit :
Quelle histoire cet ICCARRE
Et quelle soirée…
Les créanciers tout en applaudissant nous présentent leurs vœux et leurs factures …HELP
<image001.png>
Jacques Leibowitch à la télévision chez Ruquier et M.Drucker :
http://www.dailymotion.com/video/xl…
http://videos.tf1.fr/infos/2011/pou…
Jacques Leibowitch, POUR EN FINIR AVEC LE SIDA.
Le livre événement du Jacques Leibowitch Professeur Assistant Emérite Université Versailles Saint Quentin. Attaché Hôpital Raymond Poincaré, Garches, 92380. Mondialement reconnu pour ses travaux sur le Sida, J. Leibowitch (codécouvreur du virus HIV, praticien hospitalier, initiateur des trithérapies), nous annonce aujourd’hui, que l’on ne meurt plus du Sida.
Que sous traitement on n’est plus contaminant.
Que celui-ci est allégé à deux jours de prise des médicaments anti-HIV, et qu’ainsi il n’est plus invalidant.
Personne ne peut ignorer le pas franchi aujourd’hui par ces travaux menés en équipe, et surtout pas les psychanalystes qui savent bien, comme le rappelait Lacan, que les maladies sexuellement transmissibles ont des effets sur la structure du désir.
Sur le site, et en exclusivité, les annexes publiées hors livre, seront régulièrement mise à jour, par le Professeur Leibowitch.
News : Jacques Leibowitch invité d’honneur de FESTHIVAL Bruxelles par Pink+ asbl - 27 au 30 novembre 2013"
Pièces attachées : annexe au communiqué de presse + 5 articles de presse concernant le Docteur Leibowitch :
- Jacques Leibowitch sera bientôt à Bruxelles pour étendre son concept : ne pas prendre de médicaments plusieurs jours par semaine.
Page FB de l’association Pink+ association de prévention, sensibilisation & santé gay.
https://www.facebook.com/pages/Pink…
Liens supplémentaires :
Reportage RTL TVI à l’occasion de l’intervention du Dr Leibowitch, invité au parlement de la Fédération Wallonie Bruxelles fin novembre 2013.
http://www.rtl.be/videos/video/4671…
Ou :
Pure FM Emission « Bang Bang ». à « 5580 »
http://www.rtbf.be/radio/player/pur… ;
LETTRES :
Received : from pasteur.ap-hop-paris.fr ([164.2.249.240])
From : leibo <jacques.leibowitch chez rpc.aphp.fr>
De : LEIBOWITCH Jacques
Envoyé : mardi 31 décembre 2013 11:23
À : Pierre sonigo ; ’Patrick Valas’ ; ’Caroline Petit’
Cc : ’Val Laloux’
Objet : TOPO-EPISTEMOLOGIE ….LA PLACE DU MEDECIN DANS L ACTE MEDICAL …ATELIER DE TRAVAIL ville hopital JANVIER 1990 AVEC AIDES DE DANIEL DEFFERT
Leibowitch pourquoi ICCARRE vous et pas les collègues …??? ! Parce que § ! la structure en double position haute et basse du médecin soignant savant de l’éthique médicale …
the unremitting treatment doctrine 7 days a week was tattered by a landmark study in which 8 patients were shown to maintain optimal control over their HIV for a whole year while on a startling 7 days Off / 7 days On weekly antiviral regimen… Dieu Le REEL c’est à dire la NATURE commande et instruit …
.
because the latter stunt horned into perennial physicians’ dilemma to adjust their prescriptions to a necessary and sufficient optimum - “ Physicians have a responsibility to practice efficient health care and use health care resources responsibly. Parsimonious care utilizes the most efficient means to effectively treat a patient”, American College of Physicians Manual Code of Ethics, Sixth Edition, 2012 - it spurred us to engage our patient volunteers into antiviral treatment alleviations 1 day and then 2 days etc …each week, … La déontologie oblige …CCON CQFD
Jacques Leibowitch le 7 février 2014.
TR : En fanfare partout sur les réseaux et les médias …ERIC C EST PARTI ET CA NE S ARRETERA PLUS… BRAVO.
- Jacques Leibowitch, A randomised controlled trial of bumetanide in the treatment of autism in children
Subject : questions hors France
Date : Tue, 31 Jan 2012 12:12:44 +0100
Date : Samedi, Janvier 14, 2012 2:03 pm
À : jacques leibowitch
Bonjour Docteur
Tout d’abord je souhaitais vous presenter tous mes voeux pour cette nouvelle annee. …
Comme nous en avions discute lors de notre rendez-vous en decembre dernier je prévois de rentrer en France a la fin du mois de fevrier début mars pour un autre bilan.
Je me demandais si vous aviez pu recevoir la carte d’identité du virus et me donner un peu plus d’information a ce sujet.
Je crois que quand nous nous étions vus le mois dernier vous étiez en attente de ces informations.
J’ étais ensuite reparti de France.
D’avance merci pour votre réponse.
Cordialement, signé XX
From Jacques Leibowitch to XX
Date : Sat, 14 Jan 2012 15:40:03 +0100
Bonjour et bonne route pour 2012 la copieuse annoncée…La photographie génétique de votre virus décrit un virus de type "occidental" (clade B) de la classe de ceux qui ont fait l’épidémie en Amérique du nord et en europe de l’ouest, comme au Zaïre dans les premières années de l’épidémie…
Votre contaminateur était donc partie au réseau européo-occidental des porteurs de VIH…
Oui les dates sont bonnes pour Garches, sauf changements de dernière heure … D’ici là portez vous bien et …protéger vos partenaires …
Bien cordialement
Jacques Leibowitch
De : XX Envoyé : lundi 16 janvier 2012 03:52
À : jacques leibowitch
Bonjour Docteur,
Merci pour votre réponse.
Bon, je vous l’avoue, connaitre la photographie du virus ne m’avance pas à grand chose, je le réalise maintenant…
Sinon je vais bien, je fais beaucoup de sport et j’ai même arrêté de fumer.
J’essaye de me vider la tête et de prendre soin de moi. J’ai hâte de rentrer pour ce deuxième bilan et vous revoir pour décider du protocole de traitement.
Bien cordialement, XX
De : XX mardi 31 janvier 2012 06:27
À : jacques leibowitch
Bonjour docteur, J’ai déjà lu votre livre que j’avais acheté en sortant de l’hôpital.
Pour un traducteur, j’ai pose la question a une personne de l’Ambassade de France qui s’occupe du secteur livre et édition.
Je vous tiens au courant dès son retour.
Je m’inquiète de voir des ganglions qui sont apparus derrière mon oreille droite. Leur taille ne diminue pas. J’ai un chat.
Pensez-vous que cela puisse venir de sa presence / de ses griffures, etc ?
Plus qu’un mois à tenir…
A très bientôt signé XX
From Jacques Leibowitch to XX, mardi 31 janvier 12h10
Bonjour,
Merci pour votre activisme…pour vos ganglions, il n’y a rien d’ inquiétant, c’est l’usage du virus, il s’installe à demeure dans les lymphocytes des ganglions du cou et derrière les oreilles, çà n’a aucune autre signification que d’être porteur de HIV séropositif, la différence tient à ce que le test de séropositivité est de nature symbolique, au-delà du réel, tandis que les ganglions qui « poussent » sont une forme « incarnée » = dans le corps, de la présence réelle du VIH ; le corps « vrai », çà « parle » autrement à nous autres, humains, « pris » que nous sommes dans les rets du langage, en tant qu’êtres-de-la-parole ou « PARLÊTREs » …
A bientôt, sans haine ni crainte …
Jacques Leibowitch
Lettres :
28 septembre 2013 :
Bonjour Valérie et bravo-chapeau pour les perspectives politiques heuristiques décidément choisies par Pink+ et Warning pour dire et vaincre le SIDA aujourd’hui et demain.
Sur la base ces orientations majeures – elles auront fait se (nous) rencontrer « naturellement » épistémologie et socio-humanisme de ce temps - je re-structurerai ma présentation de 30 45 minutes en deux parties historiquement inversées selon le conducteur suivant :
1. ICCARRE comme « moyen thérapeutique ajouté » d’accéder à de Nouvelles Liberté Dignité Responsabilité pour les personnes vivant avec le VIH et ses médicaments (15 à 20 minutes de diaporama en lingual franglesia).
2. ICCARRE Pour Finir avec le SIDA et ses Mal- Edictions, comme temps de dire le SIDA pour ce qu’il est en Sciences biologiques et humaines post-modernes, et non plus sur le mode misérabiliste des années de braises et cendres …
Je vous laisse le choix d’un titre qui résumerait cette dé-re-construction dans le style : ICCARRE, oiseau français de bon augure, pour libérer le monde d’un mal(-)nommé SIDA …
Pour la participation des témoins ICCARRE pressenti(e)s, je leur adresse ce courrier pour qu’ils (elle) se déterminent in fine…
Copie aussi aux parrains et marraine d’ICCARRE - dont deux membres de l’actuel Comité National d’Ethique (dont monsieur son Président Salut au Pr Jean Claude ), et l’illustre prédécesseur …
Cet échange vaudrait bien d’être connu et diffusé … Les 90 ICCARRE moins celles et ceux qui n’ont pas d’adresse imelle sont là …
Bien cordialement
Dr Jacques LEIBOWITCH
Attaché consultant Infectiologie (Pr C. PERRONNE)
Hôpital Raymond POINCARE Garches 92380
Assistant professeur Emerite (Université Versailles Saint Quentin)
Ceux qui vivent ce sont …ceux qui luttent et transpirent.
Ceux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front.
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent seigneur ! Les autres, je les plains.
ICCARRE : si Moins c’est Bien c’est Mieux
+331 47 10 79 56
À : LEIBOWITCH Jacques
Objet : Re : ICCARRE en expansion extension …avec à nos nouveaux amis bruxellois et leurs entrées médicales en RDC !
Cher Dr Leibowitch,
Vous avez évidemment toute latitude en ce qui concerne la forme de votre intervention et les proportions allouées à la présentation du livre et à l’étude ICCARRE.
Sachez que vous êtes le seul invité de cette soirée, vous y êtes donc mis à l’honneur. Nous vous proposons un temps de parole entre 30 et 45 minutes, à votre meilleure convenance. Vous n’avez donc pas à vous sentir coincé par le temps.
La soirée sera découpée de la manière suivante :
Introduction d’une dizaine de minutes par le président de l’association Warning bxl.
Votre intervention entre 30 et 45 minutes.
Temps de débat : questions/réponses.
En ce qui concerne le titre de votre intervention, devons-nous tenir compte de celui que vous avez communiqué au Parlement ?
Intermittents, en Cycles Courts, les AntiRétroviraux Restent Efficaces : ICCARRE, ou la juste posologie adéquate et suffisantes, contre la Sur-médication non nécessaire dangereuse dispendieuse.
Ou souhaitez-vous l’adapter en fonction de votre plus large temps de parole ? Pouvez-vous me confirmer la participation de vos patients-témoins ?
En ce qui concerne le cadre dans lequel prend place votre venue.
Trois associations (Pink+asbl, Warning asbl et la Coupole LGBT de Bruxelles) lancent la première édition du FESTHIVAL.
Warning bxl : association bénévole de prévention VIH et de santé gay qui mobilise les gays séropositifs leurs amis et amants à Bruxelles.
Pink+ : association bénévole de prévention, de santé gay et d’éducation permanente à destination des publics HSH de manière prioritaire.
FESTHIVAL, c’est une semaine d’activités culturelles qui débute le 22 novembre dans le centre de Bruxelles pour se terminer le 1er décembre 2013, Journée Mondiale de Lutte contre le VIH/SIDA.
C’est dans ce cadre que le Docteur Leibowitch a été invité au FESTHIVAL lancé fin novembre par l’association de santé gay "pink+" et la Maison Arc-en-ciel de Bruxelles.
L’idée c’est de parler de la séropositivité de manière positive et nous avons demandé à des artistes multidisciplinaires de se mobiliser et confronter leurs univers avec le VIH.
Il s’agit de rompre avec les représentations et les discours, encore trop souvent misérabilistes, attachés à la séropositivité, de lutter contre la sérophobie et de défendre l’importance de la parole des personnes séropositives.
L’objectif est bien entendu aussi de mettre à l’honneur les nouveaux paradigmes de prévention comme le TasP et la réduction des risque sexuelles.
Le contexte actuelle de la prévention.
Le secteur de la prévention du VIH/sida traverse une crise profonde depuis deux bonnes années, surtout dans les associations qui s’adressent aux publics homosexuels.
Warning bxl et Pink+ sont en quelque sorte deux associations dissidentes qui ont remis et remettent fortement en question l’approche préventive des associations traditionnelles et subventionnées (ndlr souligne) : méconnaissance et même refus de prendre en compte l’actualité des pratiques sexuelles et des savoirs profanes des publics concernés, refuser et empêcher la réflexion et donc la communication des nouveaux paradigmes préventifs (le dépistage rapide et délocalisé est seulement occupé à se mettre en place cette année ! Interdiction de parler du TasP au sein des associations subventionnées (ndlr souligne) et historiques depuis deux ans !)
Aucun travail de terrain qualitatif, aucune proximité avec les publics cibles, refus de développer une prévention pragmatique et adapté aux modes de vie des publics.
La compréhension de cette crise profonde et singulièrement celle qui concerne les publics HSH peut être éclairée à la lumière de ces différents éléments :
- Contexte historique.
Les trois acteurs principaux constitués par Ex Aequo, la Plate-forme prévention sida et l’Observatoire du Sida et des Sexualités tiraient leur légitimité d’un discours de prévention essentiellement axé sur l’utilisation du préservatif à une époque où celui-ci était le seul moyen à promouvoir auprès des publics.
Le message de l’utilisation unique du préservatif, le « tout capote », a fonctionné pour une partie des publics mais on connaît aujourd’hui son échec à l’échelle planétaire pour le VIH et surtout chez les gays.
Il a permis aux associations de se fixer puis de se cantonner à un discours de prévention simple, plus rassurant et plus facile à aborder.
Dans les faits, ce discours s’est pourtant trouvé en grande partie inapte à lutter efficacement contre l’augmentation de l’épidémie.
Les associations se sont déconnectées peu à peu de la réalité des terrains et ont souvent produit, au travers de leurs campagnes, un impératif moral sous formes de normes de « bonnes pratiques » à respecter : à bonne sexualité, bonne prévention.
Ceci a eu pour effet de créer et de renforcer un sentiment de culpabilité lié au statut sérologique et à marginaliser certaines « cultures sexuelles » (multipartenariat, bareback etc).
Dans ce contexte, à message de prévention unique, il est devenu difficile de parler de sa sexualité et de ses pratiques et a fortiori de celles dites « à risques ».
Aujourd’hui, les avancées biomédicales ont mis en évidence d’autres moyens de prévention efficaces.
Ces avancées complexifient dès lors la tâche des associations qui se voient dans l’obligation de développer un discours plus pointu et plus diversifié, de proposer des outils différents et adaptés à chaque public, de produire un discours de prévention individuel et collectif et de connaître les différentes pratiques des publics qui les concernent.
La sortie du « tout capote », qui a lui alimenté les réflexions et les approches préventives de ces dix dernières années, suscite de fortes tensions dans un milieu professionnel qui a très peu fait cas de ce qui se déroulait dans les pays limitrophes, comme la France par exemple, malgré la position stratégique de Bruxelles comme capitale de l’Europe.
De nouveaux équilibres sont aujourd’hui nécessaires, ils impliquent d’interroger les représentations liées au VIH, y compris chez les professionnels, et de reconfigurer les dispositifs de prévention pour les adapter aux pratiques et aux sexualités des différents publics.
- Contexte épidémiologique.
La crise idéologique de la prévention s’inscrit aussi dans le contexte d’une épidémie en recrudescence en Belgique et tout particulièrement à Bruxelles, ces dernières années.
A la veille du 1er décembre 2011, le secteur VIH et les politiques se réveille groggy face aux chiffres de l’épidémie avancés par l’Institut de Santé Public (ISP) et l’évolution inquiétante de l’épidémie.
Le décalage entre les chiffres et les stratégies de prévention se creuse de manière patente.
En tout état de cause, les résistances contre-productive de la part des opérateurs historiques (( subventionnées, ndlr ajoute…)) de la lutte contre le VIH en Belgique contribuent à retarder l’impact de la prévention sur l’épidémie.
Les acteurs de la prévention peinent d’une part à mesurer leur responsabilité face à cette situation et d’autre part à engager une réflexion en profondeur pour adapter leurs moyens d’action : dépasser une prévention d’arrière-garde, sous forme de campagnes, de flyers et de distribution massive de préservatifs et faisant l’économie d’un réel travail relationnel auprès et parmi les publics infectés et concernés.
- Contexte associatif.
Les tensions associatives relatives aux enjeux des nouveaux paradigmes de prévention doivent aussi être comprises à l’aune de l’émergence de nouvelles associations et initiatives.
La présence de Warning Bruxelles depuis les années 2009 a considérablement impacté la donne préventive sur le terrain bruxellois.
Association à fort ancrage communautaire (présente et émanant du terrain), elle revendique une parole séropositive en ligne directe avec les principes GIPA.
Warning Bruxelles est aussi la première à militer pour une extension conséquente de l’offre de dépistage en Belgique (notamment en lançant une pétition pour qu’il soit déclaré « grande cause fédérale » à l’occasion de la Belgian gay pride en mai 2011), à promouvoir le traitement comme prévention et la santé anale.
La réappropriation de cette parole, que ce soit au sein de l’aperosero hebdomadaire organisé par l’association dans des bars gays du centre-ville de Bruxelles, ou au sein des réunions et différentes instances du secteur de la prévention, n’est pas sans créer des remous.
Parler de sa séropositivité, l’afficher publiquement, avoir un avis sur les discours et dispositifs de prévention, remettre en question le pouvoir médical et revendiquer des droits quand on est séropositif était encore en 2012 une démarche tabou en Belgique et largement transgressive pour la plupart des associations (( subventionnées, ndlr ajoute…)) qui se sont habituées à parler à la place puis à confisquer la parole des personnes infectées.
Les groupes de personnes séropositives dans les associations classiques de prévention sont soit encore tenus secrets ou sollicités par pure forme pour donner des avis consultatifs sur les campagnes de prévention en élaboration.
Il est vite fait pour certaines associations de revendiquer la prise en compte des principes GIPA alors que les séropositifs sont encore souvent tenus à une place le plus souvent anecdotique et misérabiliste.
Cette libération progressive de la parole séropositive initiée par l’association Warning a favorisé la création et la mise en place d’un HIV-Café au sein de la coupole francophone des associations LGBT de Bruxelles.
La création de l’association Pink+ prend également place dans ce contexte de redéfinition de la donne préventive et de la place occupée par les personnes séropositives au sein des associations et dans les débats publics qui les concernent.
La volonté de ses fondateurs est de proposer une prévention plus adaptée, de diversifier et d’enrichir les réponses à apporter, d’améliorer les dispositifs de prévention et d’accroître les connaissances des publics concernés.
Il s’agit aussi d’investir les terrains (les lieux de fêtes, de drague, de rencontres sociales et sexuelles) mais en inscrivant les interventions dans une démarche relationnelle de qualité et dans l’intention d’identifier les pratiques et modes de vie des publics cibles.
J’espère que ces quelques informations éclairent le contexte de votre intervention et précisent la position qui est la nôtre comme associations bénévoles.
A très bientôt
Sincères salutations
Valérie Laloux
2) "Reportage RTL TVI à l’occasion de l’intervention du Dr Leibowitch, invité au parlement de la Fédération Wallonie Bruxelles fin novembre 2013"
Le lien :
http://www.rtl.be/videos/video/4671…
Ou :
- comprendre la vie ou comprendre les maladies avec petit retoursur l’histoire de la recherche sur le SIDA en France
- annexe II Comment la course à la paternité pour la découverte du rétrovirus du SIDA contibua à fermer le ban sur la construction SIDA = lymphocytes TCD4 +en moins, etc
Nouvelles données comparatives.
Société - le 19 Octobre 2011
La chronique philo de Cynthia Fleury
Un Grenelle du sida ?
Mots clés : Sida,
C’était, il y a à peine quelques jours, l’association de lutte contre le sida de Pierre Bergé dénonçait les manières de faire de Robert Lebrun, responsable des ressources humaines du Sidaction, et l’accusait d’avoir recueilli des informations personnelles sur les employés de l’association.
Dans ce fichier, selon le syndicat CFTC, des références à leur santé mentale et psychique, l’ethnie supposée, l’état de grossesse, l’implication dans les conflits salariaux.
La Cnil, depuis, est saisie et statuera sur la réalité ou non de ces délires totalitaires.
Au même moment, est publié l’ouvrage passionnant de Jacques Leibowitch, médecin et chercheur à l’hôpital Raymond-Poincaré, Pour en finir avec le sida (Plon, 2011), qui sera très certainement une autre forme de pavé dans la mare.
Car le médecin s’attaque à la définition même du sida, en tant que syndrome d’immunodéficience acquise, et plus globalement à la conception du corps humain et de ses défenses.
En somme, le virus combattrait et vaincrait les globules blancs, sortes de forces lymphocytaires défensives, censées protéger le château fort intérieur.
L’effondrement des défenses immunitaires serait-il la seule clé de lecture du sida ?
En fait, souligne l’auteur, il s’agirait plutôt d’une « redistribution bifurcative des ressources internes », comme s’il existait une forme de « re-routage métabolique profond ».
D’ailleurs, l’immunodéficience cale devant l’exemple des grands singes d’Afrique, infectés massivement par des virus simiens proches du VIH (lentirétrovirus SIV), sans que se développe chez eux le moindre symptôme de sida.
Derrière cela, une vision affronte une autre.
Celle de l’organisme comme « cité des hommes », avec ses châteaux forts et ses ennemis, et celle, défendue par Sonigo et Leibowitch, plus écosystémique, présentant le corps comme une forêt, avec ses bosquets (organes), ses éléments (animalcules cellulaires), ses minéraux, ses flux de matières organiques distribuées en tant que chaînes alimentaires autour desquelles l’écosystème et ses organes s’organisent.
Est-ce là une affaire de chapelle ?
Loin de là.
L’enjeu est simplement, et fondamentalement, le bien-être des malades, et surtout de rappeler cette conquête essentielle que les séropositifs sous traitement bien conduit ne transmettent plus le virus, même lors de rapports sexuels non protégés.
Et ce demain, mais, si nous le désirons, dès aujourd’hui, en assumant un protocole allégé, où le traitement serait réduit à une prise par semaine.
C’est la vie des malades du sida et de leurs proches qui bascule.
C’est aussi la fin de la culpabilité sur eux.
Le temps des traitements de suite, discontinus, en cycles courts, s’annonce.
C’est un nouvel acte de la stratégie médicale et de recherche qu’il faut déployer.
On s’entend déjà sur l’externalisation du dépistage précoce en dehors de la consultation médicale.
On s’entend, mais sur le terrain, cela tarde.
Commencer tôt un traitement avec des antirétroviraux élimine quasiment le risque d’infecter, et permet de vivre et d’enfanter dans la joie à nouveau.
Enfin, l’appel de Leibowitch, à tous, pour lancer Icarre (intermittents, en cycles courts, les anti-rétroviraux restent efficaces).
Icarre, ce n’est pas sept jours de traitement non-stop, c’est d’abord quatre prises, puis bientôt Icarre 2, deux prises, et qui sait, un jour, une prise par semaine.
Les traitements indéfiniment délivrés, lourds comme le péché originel, ont fait leur temps.
Cynthia Fleury
Message d’origine -----
http://www.humanite.fr/societe/un-g…
Le 20/02/2012 :
Le projet ICCARRE :
I. Intermittents, en Cycles Courts, les Anti Rétroviraux Restent Efficaces Jacques Leibowitch et Collaborateurs, Hôpital Raymond Poincaré Garches le 14 février 2012 I. La réalité d’ICCARRE d’après ses observations fondatrices (Résumé soumis à la conférence internationale CROI, mars 2012, Seattle, EU).
Soixante treize patients HIV+, traités à Garches par diverses combinaisons anti rétrovirales prises 7 jours puis 5 jours par semaine depuis au moins six mois (Leibowitch et al, FASEB Journal, janvier 2010), ont interrompu leurs médications trois jours consécutifs par semaine, au fil de 6300 (moyenne 66, maximum 358) semaines de traitement intermittent ; 62 des 73 patients ont ensuite réduit à 3 jours de prises (4 jours off) sur 3657 cycles hebdomadaires intermittents (moyenne 52, maximum 186 semaines) ; 44 patients ont restreint leurs prises à 2 jours consécutifs (5 jours off) sur 1622 cycles (moyenne 36, maximum 113 semaines) ; et 12 n’auront pris leurs médications qu’un seul jour par semaine (6 jours off) pendant 496 cycles (moyenne 41, maximum 88 semaines).
Dix patients ont vu leur virus échapper au contrôle antiviral : aucun sous 4 jours de traitement par semaine ; 6 sous trois jours / semaine ; 3 sous deux jours ; 1 sous une prise hebdomadaire.
Un inhibiteur d’intégrase en remplacement d’un inhibiteur de protéase explique l’échappement chez 3 de 3 patients traités ; 2 patients avaient archivés des virus résistants d’avant le traitement intermittent ; 2 prenaient une moitié ou un tiers de dose quotidienne recommandée en moins ; 1 prenait une poudre intestinale interférant avec l’absorption des graisses ; 1 autre avait cessé de prendre régulièrement une trithérapie longtemps efficace à 3jours/semaine.
Chez les 10 patients en échec, un réajustement rapide de la combinaison antivirale aura permis de reprendre le contrôle sur le virus. Les marqueurs d’activation lymphocytaire, de même que les taux d’ADN HIV - analysés sur des spécimens séquentiels congelés de cellules du sang de 20 patients - n’ont pas montré d’augmentation en rapport avec l’allègement du traitement.
II. Les bienfaits d’ICCARRE :
JUSTE POSOLOGIE contre SUR MEDICATION II A. Bénéfices physiologiques : les 73 patients de Garches –près de 70 % des patients HIV+ suivis par le signataire de ce rapport - totalisent 255 années cumulées sous traitement.
La somme des traitements non pris - par rapport aux 7 jours de prise hebdomadaire réglementaire – vaut « soustraction pharmaceutique » de 114 années cumulées sans médication.
Le corps physiologique des patients devrait faire son profit de l’épargne. II B. Bienfaits psychologiques : foi de 73 patients, les week-ends prolongés voire très prolongés sans traitement lèvent la « pression » sur le preneur d’antiviraux et le sentiment de libération fin de semaine est 73 fois attesté chez tous nos patients. II C .
Bénéfices pharmaco économiques : le coût moyen d’une tri ou quadrithérapie anti VIH effective est de 12 000 euros par an et par personne en pays solvables ; à ce prix, les seuls 73 patients de Garches ont « rendu » à la solidarité nationale quelques 1,4 millions d’euros de dépenses économisées.
Sur 10 années de traitement, la réduction de 40 à 75 % des dépenses de médicaments pour 80 000 preneurs d’anti VIH en France produirait un non déboursé de quelques 3 000 à 6 000 millions d’euros dans les caisses de l’assurance maladie. II D. Bénéfices épidémiologiques : le maintien sans discontinuité d’un couvercle antirétroviral efficace donne à la personne HIV+ sous traitement le droit jurisprudentiel aux relations intimes non protégées. L’autorisation vaut pour les patients sous traitement intermittentt effectif.
La perspective de l’intermittence médicamenteuse devrait profiter à l’attractivité du traitement anti VIH, notamment chez les porteurs de VIH sans symptôme pressant de leur infection.
ICCARRE pourrait ainsi contribuer pour une part à la campagne « Pour En Finir Avec Le SIDA… » grâce à l’abolition de la transmission du VIH entre partenaires intimes sous ICCARRE, moins dissuasif sinon attractif…
III. ICCARRE, rupture et innovations dans l’infection HIV-1 et son traitement
III A. Préjugés convenus battus par l’invention ICCARRE
III A1. Le dogme qui prévaut attend du traitement antiviral de réparer au mieux les dommages infligés au système immunitaire –incarnés chez le patient par l’abrasion de la population lymphoïde TCD4+, une abrasion qui accompagne généralement le cours défavorable d’une infection à ces lentirétrovirus.
Le traitement antiviral, dans la mesure où il interrompt l’activité de reproduction-propagation du VIH, permet d’espérer le retour chez le patient des ≥ 500 lymphocytes TCD4+ /µL de sang, une valeur posée comme Graal thérapeutique par les tenants du paradigme dominant.
III A2 . Prenant acte de ce que qualité et hauteur des réparations lymphoïdes tiennent non au traitement antirétroviral lui-même - dès lors qu’est atteint et maintenu l’objectif HIV sous le boisseau – mais à l’histoire pathologique précédant la mise en route du traitement, ICCARRE détourne son attention de ce qu’il advient des forêts lymphoïdes pour porter sa créativité sur l’objectif virologique optimal.
Ce réajustement de visée et de tir se justifie de la place principale de l’inflammation qui accompagne variablement la reproduction du VIH.
Car c’est un fait désormais acquis : l’inflammation péri-VIH se présente comme LA force nocive principale dans l’ensemble des processus qui pousse l’organisme infecté par ces lentivirus au SIDA-maladie.
IIIA3. La combinatoire médicamenteuse utile au projet ICCARRE met au jour et en avant :
a) un couple d’antiviraux réputé interdit dans les recommandations usuelles (videx viread).
b) des combinaisons de 4 antiviraux usuels dont la réunion par ICCARRE dans une formulation 3 (NRTI) + 1 (NNRTI) est proprement novatrice. IIIB. Innovation physio-épistémologique.
III B1 . La vague inflammatoire péri-VIH se retire des tissus lymphoïdes dès les premiers mois d’une attaque anti rétrovirale combinée ajustée (Autran, Leibowitch et al , Science 1997).
Les conditions bio-physiologiques régnant dans le tissu lymphoïde du patient dont le virus est sous le boisseau des anti rétroviraux depuis 6 mois diffèrent radicalement de ce qu’il en est avant traitement, nettement moins favorables alors aux activités de reproduction-propagation du VIH.
D’où la possibilité même d’ICCARRE dans la phase dite par nous traitement d’entretien .
III B2 . Dans le traitement de l’infection HIV, la notion de traitement d’entretien , séparé de la phase d’attaque initiale, trouve avec ICCARRE sa référence incarnée chez le patient. De fait, l’ intermittence médicamenteuse ne peut survenir effectivement qu’après 6 à 12 mois de bombardements ininterrompus de l’attaque antivirale combinée initiale.
IV. Le projet ICCARRE, invention brevetée FRANCE en recherche de partenaires institutionnels et industriels pour son déploiement.
IV A. Les innovations ICCARRE sont la propriété brevetée de l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris et des Universités - les deux employeurs de l’inventeur au moment de leur production Les brevets décrivent des modifications innovantes des modalités de prescriptions de ces médicaments et de leur combinatoire (cf., 2 pièces annexes).
La pharmacie industrielle française n’a pas (encore eu) de droit d’auteur sur la fabrication ou la distribution d’aucune médication anti VIH.
Notre intention prosélyte aura d’autant plus de chance de réussir son déploiement que si celui-ci s’appuie sur une visibilité institutionnelle et sociétale à la hauteur des enjeux. La participation financière et communicante de notre université, propriétaire des brevets, ne serait pas de moindre apport.
IV B. ICCARRE, une révolution pacifique à exporter, propager, répandre. Ces inventions ne demandent qu’à être développés et exploités en France et ailleurs, au registre de l’allégement thérapeutique et des améliorations physiologiques et pharmaco-économiques que ces allègements apportent. En Conclusion, réduire le traitement antiviral d’entretien d’un facteur 40 à 75 %, sous combinaisons antivirales conventionnelles (triples) ou innovantes (quadruples), apparaît possible et désirable.
Pour satisfaire à la déontologie et à l’éthique (médicales et pharmaceutiques), il faut maintenant lancer les essais cliniques prospectifs de desseins convenables pour décider en science si les 7 jours de traitement d’entretien par semaine actuellement recommandés portent ou non sur le versant de la sur médication réductible.
De : François Berdougo mailto:berdougo chez trt-5.org « Alexandre Bergamini, auteur de Sang Damné, éditions du Seuil, Paris, novembre 2011 »
Envoyé : samedi 18 février 2012 20:05
À : Jacques Leibowitch
Objet : Fwd : [trt-5_l] FW : traitements de maintenance anti VIH intermittents en cycles courts : pour info
Mais j’ai pas reçu ça moi, je suis jaloux ?! :-)
A bientôt,
P Ai-je vraiment besoin d’imprimer ce mail ?
Le 20 févr. 2012 à 11:14, leibo a écrit :
Je vous l’envoie dès que …vous aurez posté la réponse des ICCARRE aux questions du TRT-5 sur le site où j’ai pu retrouver les dites questions ? I*TRT-5 : « La possibilité de traitements « intermittents » ou « interrompus » ne figure plus à l’agenda de la recherche ou de la prise en charge du VIH depuis l’échec de plusieurs essais thérapeutiques qui visaient à évaluer de telles stratégies. »
ICCARRE :
1) Des traitements intermittents figurent en clair dans les compte-rendus de la science médicale la plus officielle avec les traitements en cycles courts de 5 jours (2 jour off) démontrés comme aussi efficaces contre le VIH des patients en traitement de suite que les prises continues (essai FOTO ; essai NIH-NIAID NCT00339456 Ouganda - publiés-validés, le dernier en avril 2010).
2) Comparer le projet ICCARRE aux protocoles dans lesquels les antiviraux sont durablement interrompus revient à assimiler une méchante poire à une belle banane : dans les (méchants) essais Windows ou SMART ou STACCATO, traitements Intermittents ou interrompus désigne des arrêts d’antiviraux suffisamment prolongés pour laisser aux VIH le temps de revenir chez les patients aux niveaux de leur reproduction d’avant traitement.
ICCARRE-la-belle fait tout le contraire puisqu’il y est interdit d’ interrompre l’efficacité antivirale continue du traitement précédent ; ce point de non retour viral est spécifié objectif principal , et le retour d’activité du VIH signe la sortie de la stratégie intermittente pour cause d’échec…Poire ou banane ?
II*TRT-5 : « Il apparaît cependant que (ces thérapeutiques intermittentes) pourraient revêtir un intérêt pour les personnes, pour les raisons que vous développez dans le protocole de l’essai, parmi lesquelles une moindre lourdeur dans la vie quotidienne et une meilleure tolérance à long terme ».
ICCARRE :
1) la première et toute principale motivation de la stratégie intermittente ne vise pas d’abord le « confort du patient » ; elle doit répondre avant toute chose à un impératif déontologique : médecins et pharmaciens (industriels inclus) n’ont droit de prescrire et de recommander que LA JUSTE POSOLOGIE, celle nécessaire et suffisante pour atteindre l’objectif du prescripteur = maintenir sous le tapis le VIH du patient …Primum non nocere, SED, secundum non exaggerare !
2) ICCARRE devra montrer que moins de pilules c’est virologiquement aussi bien ; et si ce pharma en moins est bien, alors c’est sans doute mieux (pour les preneurs de la dite pharma) ; améliorer le « confort » des patients sous médications anti VIH au long cours vient « naturellement » en second, comm le prédit notre logo-antienne : si moins c’est bien, c’est mieux.
La contradiction principale (potentielle) dans ICCARRE est pharmaco-virologique ; la tension pharmaco-subjective est secondaire.
Cette hiérarchisation sarko-maoïste s’applique encore à la question-réponse ci-après.
III*TRT-5 : « Mesure de la qualité de vie pendant l’essai pouvoir différencier, au terme de l’essai, les mesures de la qualité de vie en fonction des combinaisons antirétrovirales prises par les participants… adéquation à la vie des personnes… que l’essai permette d’évaluer la perception de cette stratégie (intermittente) par les participants… mettre en place auprès des personnes intéressées par l’essai, avant l’inclusion, un recueil de données sur ces aspects, notamment sur leurs motivations pour adhérer à une telle stratégie et leur perception des changements qu’elle pourrait induire »….
ICCARRE : nonobstant l’intérêt expresse légitime du TRT-5 pour les motivations, l’adhésion, le « bien-être subjectif » de celles et ceux qui se seraient portés volontaires pour notre essai, il faut redire ici l’objectif-motivation principale d’ICCARRE : affirmer - ou infirmer en science mesurante - que 4 jours de traitements anti VIH font virologiquement aussi bien que 7.
La question posée est d’abord bio-¬physiologique ; que la stratégie intermittente échoue à cet endroit, et bien ou mal vécue, son affaire sera réglée ! Si au contraire, elle prévalait – comme le laisse prévoir nos 70 de Garches sans aucun échec - et la stratégie 4 jours sur 7 devra être enregistrée, recommandée, implémentée, expliquée de bonnes façons, pour ménager l’adhésion et le bien-ressenti des patients vis-à-vis de ce qui se proposera réglementairement comme un « progrès thérapeutique » indiscutable.
Car il s’agit d’ antiviraux et non d’homéopathie, et l’on ne voit pas le prescripteur ordonner encore et toujours 7 jours de traitement lourd par semaine, au seul registre du « confort » des patients.
IV* TRT-5 : « Nous sommes particulièrement attachés à ce que l’essai permette d’identifier avec précision les personnes éligibles à sa stratégie. Pour ce faire, les facteurs de réussite et/ou d’échec de cette stratégie doivent être clairement explicités… »
ICCARRE : explicitons…
1) dans les traitements intermittents courts publiés au FASEB Journal de janvier 2010, aucun des 48 patients sous 4 jours d’antiviraux par semaine n’a connu d’échappement de virus, résultats confirmés - juillet 2011 – et élargis à 70 patients.
L’objet de l’essai ICCARRE-1 est de caler pour le droit réglementaire cette intermittence là, et d’en généraliser si possible le trait aux trithérapies standards désignées dans l’essai.
Faute d’échec, on ne saurait mettre en balance « facteurs de réussite / facteurs d’échecs ».
2) la stratégie intermittente courte n’a montré d’échecs virologiques que sous 3 jours ou 2 jours ou 1 jour de traitement hebdomadaire.
Pour ne parler que des trithérapies standard à l’exclusion de toutes autres – les patients admis dans l’essai ICCARRE 1 n’auront de choix que prendre parmi ces standards là - nous avons repéré dans les semaines ou mois précédant l’échappement virologique les éléments suivants :
a) un patient était en flagrant état de « pilules buissonnières aigües » prolongé.
b) 2 fois les posologies quotidiennes (efavirenz ou lopinavir) étaient diminuées d’un tiers ou d’un demi.
c) 3 patients avaient des antécédents - parfois lointains voire très lointains - de virus résistants à l’une ou plusieurs des drogues entrant dans la composition de la trithérapie intermittente en échec.
Ces repères nous ont servi d’accroches inférieures de sécurité pour restreindre l’éligibilité dans ICCARRE : sont exclus les patients correspondants à deux des situations d’échecs sous 3 jours ou 2 jours.
Et pour la réassurance du lecteur-preneur de traitement court, on fera valoir dans l’information au patient combien la stratégie 4 jours sur 7 se présente comme « safe » puisque des posologies médicamenteuses quotidiennes improprement diminuées, ou l’existence de virus résistants sous-jacents n’ont pas donné lieu à échec dans les traitements courts (4 jours/semaine), et seulement dans leur version ultra-courte (3 jours ou 2 jours/semaine).
V* TRT-5 : « Mesure de l’observance… que l’observance à la stratégie fasse l’objet d’une attention particulière. »
ICCARRE : nous sommes convaincus de devoir nous tenir au plus près du comptage des médicaments effectivement pris par les patients pour avancer notre pion : que 4 jours d’ARV ont un effet antiviral aussi puissant que 7.
On peut formaliser l’anticipation de non-compliance des patients en 2 versants :
a) les patients du groupe « traitement court » prennent leurs médocs tous les jours …
Si cette tricherie était avérée, l’essai ne saurait rien démontrer. Pour nous prémunir de cet avatar, nous recouperons les déclarations individuelles du patient –recueillies au moyen du questionnaire ANRS adhoc – par les dosages plasmatiques des antiviraux - sachant que les anti-protéases ne sont plus dosables dans le plasma après 3 jours d’arrêt, à la différence des NNRTIs.
b) les patients du groupe traitement long prennent leurs médocs 4 jours sur 7 , disent ces dosages ; si les résultats virologiques sont conformes aux anticipations des méthodologistes et de leurs méta-analyses des résultats publiés, la non infériorité du bras court sera peu contestable ; si le contrôle du virus dans les deux bras est indistinctement médiocre, eu égards aux anticipations inscrites dans le protocole, la non-infériorité du bras court sur le bras long ne pourra pas non plus être contestée (cf, essai 2NN dont les résultats boudins dans les deux bras principaux ont été enregistrés comme « non différents »).
VI* TRT-5 : Observance …Il nous semble essentiel de documenter non seulement les dimensions « quantitatives » de l’observance, mais aussi le processus selon lequel les personnes élaboreront leurs stratégies dans un régime de prise alternée « jours off / jours on ».
ICCARRE :
Dans la vraie vie, nos patients en traitements courts ont parfois choisi leurs jours de non prises médicamenteuses, selon leurs disponibilités le jour du contrôle virologique – fait dans les heures qui précèdent la reprise du traitement hebdomadaire.
L’essai ICCARRE 1, premier de son genre, n’est pas destiné à reproduire le vrai de la vie du porteur de VIH sous traitement.
Pour des raisons d’organisation du suivi biologique, les jours de non prise seront restreints à vendredi-samedi-dimanche, ou à samedi-dimanche-lundi, les jours de contrôle virologique et de reprise des ARV calés aux lundis ou aux mardis.
VI* TRT-5 : « La stratégie évaluée dans ICCARRE recèle des perspectives médico-économiques… étude coût-efficacité permettant d’évaluer l’impact de la stratégie sur les coûts de prise en charge…
ICCARRE :
1) la stratégie « traitements de suite intermittents », si elle était enregistrée réglementairement, vaudrait son pesant d’allègement médico-pharmaceutique : 4 jours de traitement par semaine font 40 % d’exposition médicamenteuse en moins ; sur 10 années de traitement ils feront l’équivalent de 4 années de rémission pharmaceutique complète, = tout çà de chimiothérapie en moins pour le corps-écosystème du patient.
2) la déflation pharmaco-économique - ici et maintenant, puis là bas, plus tard – sera phénoménale : au prix moyen de 12 000 euros la trithérapie standard individuelle, la facture médicamenteuse présentée par des patients de la cohorte Raymond Poincaré a été réduite de 1,3 millions d’euros - pour seulement 70 patients.
3) que 80 % de 100 000 patients soient sous trithérapie 4 jours sur 7, et le chapitre « médicaments anti VIH » des comptes annuels de la solidarité nationale seraient crédités de quelques 300 millions d’euros.
4) 4 jours d’antiviraux par semaine pour 1, 500 000 preneurs d’antiviraux dans le monde « solvable », et la réduction cumulée des dépenses atteindrait 72 milliards de dollars sur 10 années d’exercice, 140 milliards sur 20 ans …
5) 40 % de réduction des antiviraux en pays émergeant, (300 euros annuels par personne) seraient toujours çà de médicaments non pris - et proportionnellement autant de dépenses non engagées.
VII* TRT-5 : Analyse des résultats : force de la preuve et perspectives post-ICCARRE…nous nous interrogeons sur la puissance statistique de l’essai, dont nous pensons qu’il doit permettre de produire des données dont la robustesse ne sera pas remise en cause…
ICCARRE : Jean Christophe Thalabard, notre expert méthodologiste, est docteur en médecine, professeur d’endocrinologie, chef de service, enseignant d’épistémologie à Paris-Diderot, ancien polytechnicien.
C’est un expert reconnu es mathématiques et statistiques en matière de méthodologie des essais, il a répondu aux divers arguments d’autres spécialistes du sujet concernant la puissance statistique de l’essai.
Qui voudrait être plus royalistes que le roi ?
Cela étant méthodologiquement dit et affirmé, la puissance politique de démonstration-conviction des résultats d’ICCARRE vis-à-vis des positions agnostiques dominantes ne souffrirait sans doute pas d’un doublement des effectifs de patients recrutés dans l’essai.
Que le TRT-5 et ses alliés veuillent bien se charger du soin de mobiliser les forces vives qu’il y faudrait - recrutement des patients,, financement de l’opération …- et l’équipe animatrice d’ICCARRE se ferait une (bonne) raison de la nouvelle donne !
VIII* TRT-5 « l’un des objectifs actuels du traitement antirétroviral est de maintenir ou d’atteindre un niveau de CD4 supérieur à 500/mm3…
ICCARRE :
1) certains leaders d’opinion « rêvent » de CD4 à 500 sous ARV pour leurs patient ; la réalité de terrain est à distance de ce graal : 1 an, 5 ans, 10 ans suivant l’instauration des ARVs les plus puissants, avoir encore des lymphocytes TCD4+ loin des 500, c’est le lot de près de 50 % des patients ici.
Et si le traitement a atteint et maintenu un contrôle maximum sur la reproduction du VIH – seul objectif incontesté des ARV - pour ses « patients à CD4 non reconstitués », le prescripteur n’est plus tenu de s’arracher la plume pour les soumettre aux forçages de TCD4+ par IL-2 – ou demain IL 7.
2) si la stratification des personnes sous traitement sur leur CD4 tend à montrer moins d’incidents de vie chez les personnes à plus de 500 CD4, la remontée des CD4 sous traitement au-delà de 200 n’a pas de valeur indicative.
3) voir remonter les TCD4 d’au moins tant n’est pas que l’on sache une condition sine qua non à l’enregistrement d’un traitement antiviral.
4) hors le marketing maison-pharma, aucune combinaison ARV ne porte en étiquette réglementaire la mention : donne lieu à plus de CD4 que la combinaison voisine.
5) Non, le « désir » de tenir les TCD4+ des patients au dessus de 500 sous traitement ne peut influencer le choix du prescripteur en faveur de tel ARV que subjectivement.
Rappelons que le seul objectif universel des ARVS est d’arrêter autant qu’il est possible, puis de maintenir sous le tapis la reproduction du VIH.
IX* TRT-5 …l’essai ICCARRE devant apporter la preuve de concept de l’efficacité d’une stratégie d’allègement de traitement « 4 jours sur 7 »,
ICCARRE
L’efficacité sera jugée sur le seul contrôle virologique ; qu’il soit optimal, et la remontée des TCD4 sera ce qu’elle sera - en relation à des variables tout à fait indépendantes du contrôle viral optimal, comme l’ancienneté de l’infection, ou la lenteur de diminution des TCD4 avant traitement.
X* TRT-5
il est important d’assurer la plus grande sécurité aux participants à l’essai et, par conséquent, de n’y inclure que des personnes pour lesquelles le risque…sera minimisé, compte tenu de l’état de leur système immunitaire… ( inclusion des patients à 200 CD4 ou plus indépendamment du nadir) .
L’extinction de la réplication du VIH sous combinaisons ARV optimales ne peut anticiper des effets pro TCD4+ de ces combinaisons, et nous n’avons pas connaissance d’abaque, d’algorithme, de martingale, ou de gris-gris capable d’anticiper de ce qu’il adviendra des CD4 sous traitement efficace, selon qu’ils étaient inférieurs ou supérieurs à 350 TCD4+ avant traitement.
Dans la réparation TCD4+ interviennent des paramètres aussi variés que l’ancienneté de l’infection, la sévérité de l’inflammation péri VIH avant traitement, les phénomènes de désequestration-déactivation lymphocytaires, la fibrose et ses degrés, et les mutilations infligées au tissu lymphoïde, les capacités résiduelles de la néo-lymphogénèse, toutes variables passées ou découplées d’une réplication VIH maintenue sous le tapis.
L’expérience menée à Garches (n’a) pas permis d’identifier de facteurs de risque spécifiques aux personnes dont le taux de CD4 est inférieur à 350/mm3…dit le TRT-5…mais s’agissant d’impact virologique, le préalable « facteurs de risque spécifiques aux personnes dont le taux de CD4 est inférieur à 350/mm3 » n’a pas de dimension scientifique réelle.
Sécurité des participants …n’y inclure que des personnes pour lesquelles le risque lié à la participation à l’essai sera minimisé, compte tenu de l’état de leur système immunitaire…
Le risque de la stratégie intermittente est virologique : échappement du VIH, et émergence de virus résistants aux médicaments de la combinaison.
Cette éventualité péjorative est encadrée de contrôles virologiques serrés – à quoi s’ajoutent des critères spécialement sensibles pour la sortie du patient de l’essai.
La préoccupation sécuritaire princeps de l’essai exclut de fait les patients dont le VIH dominant.
1) est résistant à l’une au moins des 3 drogues de la combinaison, à l’entrée dans l’essai.
2) est résistant à d’autres drogues antivirales au point où il n’y aurait pas d’alternative médicamenteuse triplement optimale en cas d’échappement virologique.
La stratégie intermittente ne saurait mettre en cause la sécurité immunitaire des patients, vu les brancards qui enserrent la permanence du succès virologique dans l’essai. Quant à l’état « immunitaire » - référencé à plus de 200 TCD4+ pour entrer dans l’essai – il ne peut obérer le projet virologique.
…Expliquer le fait que le nadir de CD4 ne figure pas dans les critères d’inclusion.
ICCARRE
1) la moitié des patients de la cohorte Raymond Poincaré (36 sur 70) avaient eu au moins une fois > 200 TCD4 ; un quart (15 sur 70) avaient eu au moins une fois >100 TCD4 par microlitre, sans conséquence sur l’efficacité antivirale optimale du traitement raccourci.
2) un nadir même ancien de TCD4 à moins de 200 ou même de 100 - dans l’histoire d’un patient dont les TCD4 seront à l’entrée dans l’essai déjà remontés à plus de 200 - pourrait annoncer une récupération lymphocytaire lente et partielle.
Mais le succès virologique de la stratégie s’il en était n’en serait pas autrement affecté.
De : François Berdougo [mailto:berdougo chez trt-5.org] Alexandre Bergamini, auteur de Sang Damné, éditions du Seuil, Paris, mars 2011. Envoyé : lundi 20 février 2012 14:02
À : leibo Cc : Renaud Persiaux
Objet : Re : [trt-5_l] FW : traitements de maintenance anti VIH intermittents en cycles courts : pour info Ah ah je vois je vois :-)
C’est bien que vous ouvriez le sujet, car TRT-5 aimerait bien mettre vos réponses en ligne, sauf qu’en l’état de rédaction du document, il estime que ce n’est pas possible. Il souhaiterait donc, si cela vous est possible, que vous nous fassiez parvenir une version plus « publiable » de ces réponses.
Cela vous semble-t-il possible ?
Bien à vous.
De : leibo [mailto:jacques.leibowitch Envoyé : lundi 20 février 2012 16:38
Objet : traitements de maintenance anti VIH intermittents en cycles courts.
Physicians have a responsibility to practice effective and efficient health care and to use health care resources responsibly.
Parsimonious care that utilizes the most efficient means to effectively diagnose a condition and treat a patient respects the need to use resources wisely and to help ensure that resources are equitably available.
American College of Physicians Ethics Manual : Sixth Edition, 2012 .“New ethics guidelines from the American College of Physicians (ACP) calling for physicians to practice “parsimonious care” by PF Neumann, What we talk about when we speak of health care costs, New England Journal of Medicine, 15 février 2012…”.
Cher François Berdougo.
Merci de mettre en ligne, telles quelles, nos réponses aux questions du TRT-5 concernant ICCARRE, des réponses sincères et argumentées, avec un soin didactique tout particulier. Des commentaires et « coupures, sil devait en être, seraient naturellement les vôtres- je veux dire TRT-5 !
Voici par ailleurs le document-rapport auquel vous « aspiriez » - vous le connaissez déjà : il résume - sobrement - le projet ICCARRE, dans ses réalités et ses « beautés » annoncées.
Il s’agit il est vrai de Bien-Commun-Global, au sens le plus Common Wealth , « hors réseaux », SIDA ou quoi. Car « Si Moins de Médecines antivirales, c’est Bien », ne serait-ce pas Mieux ?
A qui profiterait la sur-médication si c’était de çà dont s’agite la tendance co-labo dominante ?
Et pourquoi ne pas faire de notre document-rapport une nouveauté-primeure pour votre site, entourée de vos commentaires affûtés, appelant les bloggeurs à se prononcer en meilleures connaissances de NOS comme de VOS causes ?
Salut et Cordialités Jacques Leibowitch
De : XX Envoyé : mardi 24 janvier 2012 15:21.
À : leibowitch jacques.
Bonjour Docteur j’ai fait le 17 janvier 2012 des nouvelles analyses.
Vous avez du les reçevoir, j’espère.
Rien à signaler donc.
Charge virale toujours indétectable à moins 20 copies…Une question : pourrait-on faire des analyses et sonder afin de voir à quel niveau on verrait le virus apparaître ?
Garder une analyse à moins 20 copies pour s’assurer de l’indetectabilité et une autre expérimentale ? à 3 log, 4 log, 5 log, 6 log sur plusieurs mois ? Cela m’intéresserait.
Comment avance (l’essai clinique) ICCARRE ?
Avez vous vu des patients venir vers vous après le livre ?
Un autre livre est sorti, (celui que nous aurions du faire !) entre Lestrade et Pialoux …en avez vous connaissance ?)
Amicalement, XX
Le 24 janvier 2012 17:49, leibo
Bonjour Monsieur XX,…non je n’ai pas reçu le dosage mais je vous fais confiance et vous congratule : comme attendu au 3e mois encore toujours indétectable…
Encore un dosage mi février et on lève la pression à une virémie toutes les 8-10 semaines pour les 12 mois à venir …
Et entre temps une (évaluation) « complète » à Garches alors pour CD4 et le toutim inflammatoire 6 mois après le dernier palier …
« Une question : pourrait-on faire des analyses et sonder afin de voir à quel niveau on verrait le virus apparaître ?… ».
Là j’ai pas compris !
Vous voulez revoir le virus dans votre sang à 10 puissance 3, ou 4 ou 5 ou 6 copies, off antiviraux ?
Je vous donne le résultat d’avance : la virémie sera là où elle était avant de commencer votre premier traitement autrefois …
Mais ai-je bien compris ?
La « manip » innovante pour 2013 et suivantes serait de sonder …la profondeur réelle de la sur-médication actuelle : deux jours par semaine sous Quadrivikx, c’est déjà, assurément je crois, trop…mais 1 jour semaine c’est risqué, quand même (un patient sur douze en échappement de virus)…
La poire entre les deux : 2 jours sur dix jours, puis sur douze, puis sur 14…Deux jours une semaine sur deux, je prendrais bien le pari, mais …ON NE LE FAIT PAS ENCORE … !
En attendant, ICCARRE patine sec …avec Bruno Spire et le TRT-5 mobilisés comme un seul homme (avec des divergences internes) autour de l’aventure (de l’essai IPERGAY voior sur le réseau) – avec Delfraissy, Molina et le Pialoux qui fait le partisan chattemine d’ICCARRE…
Leur essai IPERGAY est une folie dangereuse qq part à cause de : 4 jours de traitement par exposition - au lieu des 3 semaines recommandées pour les accidents de capote ; une bithérapie au lieu de tri thérapie ; une protection sur moins de dix singes…et surtout ce PLACEBO dont on n’imagine pas le texte qui l’accompagne, en direction des hardeurs invétérés qui devront y aller franco de culs-nus sous peine de ne rien démontrer en faveur des médocs…
Ils ont trouvé 1 millions d’euros ANRS pour faire çà, et escompte la taper de 12 millions au total…Iccarre reste à quai derrière, et là, j’ai engueulé Spire sur ses illusions quant à la recevabilité du « confort » des 7 jours semaines actuels…comme si le « confort » si même il en était autorisait le prescripteur à écrire 7 jours plutôt que 4 parce que çà « plairait » au prescrit …
Faudra-t-il que l’un ou l’une (journaliste) fasse un sujet sur le docteur-passeur, Moise Colombo, abattant les veaux d’or et fustigeant la sur-médication : Radio, télé, vidéo, blog, face book twitter, magazine papier, LA SUR MEDICATION EN ACCUSATION dans le style J’accuse
…A moi de porter le message des patients de Garches : si nous sommes 44 aujourd’hui à prendre deux jours semaine tandis que les autres qui nous ressemblent sont à 7 sur 7, A QUI PROFITE LEUR SUR MEDICATION ?
Nous vaincrons, mais pas encore !
A l’aide ! De : XX Envoyé : jeudi 16 février 2012.
À : leibo …
Bonjour Docteur, j’ai fait ce mardi 14 février, un check point total.
Vous devriez tout reçevoir bientôt j’espère.
À la question : pourrait-on faire des analyses et sonder afin de voir à quel niveau on (re)verrait le virus apparaître ?
Sous traitement bien entendu !
Il ne s’agit pas d’arrêter les deux jours par semaine, mais de voir à quel niveau de souche le virus se montrerait.
À force de ne plus le voir, il devient invisible, donc inexistant.
Pourquoi ne va t on pas plus loin dans les souches ? On reste à - 20…depuis dix ans.
Prochaine étape, je serais d’accord si les résultats sont bons d’aller voir à deux jours sur dix jours…pendant six mois ? Puis deux jours sur 14 ?…
À propos d’ICCARRE j’en parle autour de moi très souvent.
Mais Ipergay leur a niqué tout sens de la discussion et de la curiosité, les labos sont tentaculaires et ont anesthésié les cerveaux, et les gens intéressés ont la trouille.
Ils attendent… Ridicule je trouve aussi.
Vous luttez, nous luttons contre des marées violentes et menaçantes.
Je suis moins d’attaque sur le sujet puisque je suis sur un autre texte. Ma vie tourne autour de l’écriture.
Bon courage mon cher docteur.
À bientôt en vrai, j’espère monter au printemps à Paris.
Amicalement, XX
De leibo à XX 18 février 2012.
Résultats du 14 février : ARN HIV au dessous de 20 copies et 36 % de TCD4+ (390 par µL)…Tutti bene as expected .Et maintenant un contrôle de virémie un lundi toutes les 8 à 10 semaines, bien venue au club ICCARRE et ses 45 membres à deux jrs semaine…
Nous vaincrons parce que contre HIV Le Tyran moins fort, nous y allons moins fort .
Sous les 20 copies, c’est obscur et ce n’est pas là que se trouve la suite l’on des progrès.
Plusieurs études ont cherché à savoir ce qu’il en était de ces « mini-virémies résiduelles », mais ce n’est pas de la réplication virale, les renforcements anti viraux avec deux médocs en plus des trois d’avant n’ont rien changé à ces « résidus ».
Donc c’est du « rien » …rien de significatif au sens : on mesure qq chose d’ARN, réactif en pcr, mais quoi .Bref on oublie - sauf les virologues métreurs mesureurs obsessionnels emmerdeurs…
Le (prochain) progrès c’est la pharmaco cinétique des antiviraux sous intermittence ?
Ou mieux le pragmatisme empirique :
2 jours tous les 10 jours 12 jours 14 jours …sous couvert d’un contrôle virologique tous les 10 12 et 14 jours, chaque fois donc, avant la reprise du traitement intermittent…
On n’est pas pressé de le faire, profitez du calme des deux jours et de leur « plasticité »(on rate le lundi on remet les pilules au mardi mercredi …)
Et on fait le reste l’écriture ou quoi, son travail, sa vie, pas le VIH…
je ne vous embêterai plus avec mes appels à témoin au secours… la montagne est plus géante que jamais imaginée !
TOUS ces co-labos ONT DES LIENS D INTERETS DIRECTS AVEC Big Brother Pharma…Je ne me battrai pas à mort pour forcer le passage au pont d’iccarre, moi pas napo, tant pis pour « l’humanité », chacun son fardeau, moi ce seront mes patients, et basta !
Comme pour le sang contaminant : ils ont continué à transfuser, j’ai gueulé, j’ai écrit, témoigné, ils ont poursuivi…Et je ne me suis pas couché sous un train avec mes tubes roulés dans mon drapeau !
Bien cordialement A+
De : XX mercredi 22 février 2012 14:19.
À : leibo …
Bonjour Docteur, je viens de reçevoir mes analyses.
Je crois que j’étais en train de couver une grippe juste avant, ce qui explique les CD4 moyenne à 390. À propos d’ICCARRE je vois que ça répond sur Séronet (cf la liaison www.seronet / leibowitch ).
Très bien, ils semblent d’accord avec une grande aisance, avec élan même !
Soyez patient dans quelques mois, au changement de président, ils se rangeront à vos côtés.
Rangez votre épée, vous leur faites peur.
Les médecins sont des pleutres ne le savez vous pas ?
Ne polémiquez pas avec ceux qui « semblent » d’accord avec vous.
Ce seront des alliés possibles, n’est ce pas ?
Bonne journée, et tenez bon. XX De : leibo mailto:
jacques.leibowitch chez rpc.aphp.fr
Envoyé : mercredi 22 février 2012 14:44
À : XX …
Pas de soucis pour vos CD4 en valeurs absolues, on s’en tape d’autant plus que ces valeurs dépendent 1 du pourcentage – et là çà ne bouge pas d’un cil – ET 2 du nombre de lymphos en circulation , - et là çà éternue et mouche et plonge un peu chaque hiver…dont acte.
Merci pour votre avis, vrai, le vent semble tourner d’un coup, c’est magique, grâce à Renaud Persiaux qui au TRT-5 fait son œuvre …
D’accord pour replanter le tomahawk – bien que je me demande si les plumes du Wizzard of Odds, du grand Sachem Moise Pitting Bull sur sentier-de-la- guerre, n’a pas eu quelques effets pressants exténuants….
S’ils en veulent de nos ICCARRE, je les sors dare dare ; et je joue con-dis-sensus pour que l’on trouve la bonne percée, vers le haut, vers l’enregistrement réglementaire, vers l’export mondial de ce nom d’une Pipe de France, forte de ses valeurs universelles : ICCARRE pour liberté, efficacité, solidarité !
Vous veillerez je vous en prie à ce que mes futurs restes passent en temps utile par Saint Denis la Basilique avant leur dispersion définitive…
Cordialement
le reve d’iccarre 09 03 2012
La réponse de LEIBOWITCH…
Soumis par Lili11 le 11 mars, 2012 - 13:19.
Voilà ce que je viens de recevoir, Bonne lecture, Lili11
Cher Mutalys, chère Lili11, bravo BRAVA pour votre courage, et votre générosité… Vous avez bien dit ces choses que vous saviez comme celles que vous ne savez pas…
Réservoirs, sperme, sécrétions cervico vaginales, transmission ou pas du virus au partenaire, effets sur les TCD4 + , durée du médicament antiviral dans l’organisme, ou durabilité de son effet antiviral post-médicamenteux, …toutes ces questions et bien d’autres autour du traitement anti VIH s’appliquent aussi bien aux traitements actuels, 7 jours sur 7, n’est ce pas ; aucune n’a pourtant jamais conditionné l’enregistrement de telle ou telle trithérapie.
Sans doute parce qu’aucun de ces soi-disant « critères de vérité » n’a en réalité atteint le seuil de la « pertinence scientifique »…
Ces questionnements-accusations sont renvoyées dans les dents d’ICCARRE, comme si …
C’est bon, questions et questionnements ne cesseront pas aussi longtemps que les essais cliniques prospectifs de grandeur et design convenables, n’auront pas donné leurs résultats…
Alors que cent ICCARREs fleurissent, tous de format réglementaire, conduits par des professionnels responsables, avec les centaines de volontaires libertiens qu’il y faut, tous déjà sous traitement effectif 7 jours sur 7, selon les critères restrictifs du protocole …jusqu’à l’invalidation ou la validation du propos, et alors un enregistrement réglementaire !!!
Car voilà bien l’enjeu stratégique de la révolution ICCARRE :
Que 4 jours de traitements par semaine, dans les conditions restreintes et définies ad hoc, fassent aussi bien que 7, et l’ère de la sur-médication finira, plombée par LA JUSTE POSOLOGIE …,
Que le peuple séropositif se saisisse de SA question :
DEMANDER le programme, le CALENDRIER, et les FINANCEMENTS des ESSAIS ICCARRE !
Ah oui, mais …pourquoi seulement en France (à vrai dire seulement à Garches ! ), et NULLE PART AILLEURS ?
Une posologie AJUSTEE à la française ?
Pourquoi pas et si çà le fait aussi bien que çà l’a fait pour 73 patients, alors que Vive La France et Saint Denis sa Basilique !
Une France forte de ses valeurs universelles de liberté, solidarité, créativité !
Sinon, que l’on conduise ce docteur Maboule de la prescription hors AMM à Saint Anne son hôpital.
Bien cordialement à tous.
Nous vaincrons, peut être, car nous y allions moins forts !
Jacques Leibowitch, Professeur Assistant Emérite Université Versailles Saint Quentin Attaché Hôpital Raymond Poincaré, Garches, 92380 "…
Intro into ICCARRE petition english
ICCARRE post ASA
J. Leibowitch 2 ICCARRE
Edwy Plenel
réponse à Médiapart (3)
Lettres du 5 octobre 2013 :
Msieur Lachenal Merci de vos éclairements …
A votre disposition donc pour un talk autour d’un café ou plus si affinités pour les années 1990 et la pentamidine …
Sur l’aspect sémantique et sens du sens en bio-médecine, pardon aux Treichler et autres Sonntag (que j’avais longuement rencontrée là bas et à Paris ) voyez Le Courrier de I’ A.P.M. / Nol,l / Janvier-Février 2001, éditeur de IN RETROVIRUS VERITAS mais fallait il bien croire en la science ?
… Par Moïse Leibo-Columbo…L’entartrement des scientistes devrait lui valoir le NOBEL de l’épistémologie fine, comme l’épicerie … Georges Pérec s’en tient peut être encore les côtes !
Bien cordialement
Hercule le Détecrrve Poireau
ICCARRE : si Moins c’est Bien c’est Mieux +331 47 10 79 56
De : Guillaume Lachenal Merci, c’est courageux d’avoir lu ce commentaire… c’etait un peu penible comme exercice.
Sur Leibowitch et le catéchisme immunologique, je suis un grand fan mais c’est vrai que je suis resté dans l’under statement stratégique, feindre l’indifférence pour mieux convaincre, je sais pas si a marché.
A bientôt, je termine mon bouquin sur la biographie de la pentamidine - et je suis preneur de souvenirs des années 1980 a ce sujet.
Guillaume Lachenal
De : LEIBOWITCH Jacques
Envoyé : samedi 5 octobre 2013 13:10
À : ’lachenal_guillaume’ Objet :
TR : spinoza et (bonne) compagnie LGBT belges…
Bonjour je vois votre intervention socio-sémantique sur SIDA …une épidémie de sens que je découvre … en écho dirait-on à ICCARRE oiseau français de bon augure, pour libérer le monde d’un mal(-)nommé SIDA… et encore sur le site patrick.valas/ iccarre … DE QUOI LE SIDA EST IL LE NOM …délivré aux psychiatres de saint-anne il ya deux ans déjà …
De : LEIBOWITCH Jacques Envoyé : samedi 5 octobre 2013 12:33 : Objet : TR : spinoza et (bonne) compagnie
… ralliez vous à la Juste Cause du Droit de l’homme et de la femme séro à une Posologie Anti VIH ADEQUATE ?
Aurait dit Bénito l’Epineux ! …réveillez vous ICCARREs…pour donner de l’horion avec de vrais bâtons.
Relisons nos amies LGBT bénévoles de Bruxelles qui n’étant pas permanents du parti au pouvoir sont libres de leurs pensées et elles sont BONNES… cf., leur analyse des séro-traitres en bandes organisées SUBVENTIONNEES …
De : Val Laloux [mailto:val chez pinkplus.be]
Envoyé : samedi 28 septembre 2013 08:22
À : LEIBOWITCH Jacques Objet :
Re : ICCARRE en expansion extension …avec à nos nouveaux amis bruxellois et leurs entrées médicales en RDC ! …
Trois associations (Pink+asbl, Warning asbl et la Coupole LGBT de Bruxelles) lancent la première édition du FESTHIVAL.
Warning bxl : association bénévole de prévention VIH et de santé gay qui mobilise les gays séropositifs leurs amis et amants à Bruxelles.
Pink+ : association bénévole de prévention, de santé gay et d’éducation permanente à destination des publics HSH de manière prioritaire.
FESTHIVAL, c’est une semaine d’activités culturelles qui débute le 22 novembre dans le centre de Bruxelles pour se terminer le 1er décembre 2013, Journée Mondiale de Lutte contre le VIH/SIDA.
L’idée c’est de parler de la séropositivité de manière positive et nous avons demandé à des artistes multidisciplinaires de se mobiliser et confronter leurs univers avec le VIH.
Il s’agit de rompre avec les représentations et les discours, encore trop souvent misérabilistes, attachés à la séropositivité, de lutter contre la sérophobie et de défendre l’importance de la parole des personnes séropositives.
L’objectif est bien entendu aussi de mettre à l’honneur les nouveaux paradigmes de prévention comme le TasP et la réduction des risque sexuelles.
Le contexte actuelle de la prévention Le secteur de la prévention du VIH/sida traverse une crise profonde depuis deux bonnes années, surtout dans les associations qui s’adressent aux publics homosexuels.
Warning bxl et Pink+ sont en quelque sorte deux associations dissidentes qui ont remis et remettent fortement en question l’approche préventive des associations traditionnelles et subventionnées (ndlr souligne) : méconnaissance et même refus de prendre en compte l’actualité des pratiques sexuelles et des savoirs profanes des publics concernés, refuser et empêcher la réflexion et donc la communication des nouveaux paradigmes préventifs (le dépistage rapide et délocalisé est seulement occupé à se mettre en place cette année !
Interdiction de parler du TasP au sein des associations subventionnées (ndlr souligne) et historiques depuis deux ans !), aucun travail de terrain qualitatif, aucune proximité avec les publics cibles, refus de développer une prévention pragmatique et adapté aux modes de vie des publics. La compréhension de cette crise profonde et singulièrement celle qui concerne les publics HSH peut être éclairée à la lumière de ces différents éléments :
Contexte historique :
Les trois acteurs principaux constitués par Ex Aequo, la Plate-forme prévention sida et l’Observatoire du Sida et des Sexualités tiraient leur légitimité d’un discours de prévention essentiellement axé sur l’utilisation du préservatif à une époque où celui-ci était le seul moyen à promouvoir auprès des publics.
Le message de l’utilisation unique du préservatif, le « tout capote », a fonctionné pour une partie des publics mais on connaît aujourd’hui son échec à l’échelle planétaire pour le VIH et surtout chez les gays.
Il a permis aux associations de se fixer puis de se cantonner à un discours de prévention simple, plus rassurant et plus facile à aborder.
Dans les faits, ce discours s’est pourtant trouvé en grande partie inapte à lutter efficacement contre l’augmentation de l’épidémie.
Les associations se sont déconnectées peu à peu de la réalité des terrains et ont souvent produit, au travers de leurs campagnes, un impératif moral sous formes de normes de « bonnes pratiques » à respecter : à bonne sexualité, bonne prévention.
Ceci a eu pour effet de créer et de renforcer un sentiment de culpabilité lié au statut sérologique et à marginaliser certaines « cultures sexuelles » (multipartenariat, bareback etc).
Dans ce contexte, à message de prévention unique, il est devenu difficile de parler de sa sexualité et de ses pratiques et a fortiori de celles dites « à risques ».
Aujourd’hui, les avancées biomédicales ont mis en évidence d’autres moyens de prévention efficaces.
Ces avancées complexifient dès lors la tâche des associations qui se voient dans l’obligation de développer un discours plus pointu et plus diversifié, de proposer des outils différents et adaptés à chaque public, de produire un discours de prévention individuel et collectif et de connaître les différentes pratiques des publics qui les concernent.
La sortie du « tout capote », qui a lui alimenté les réflexions et les approches préventives de ces dix dernières années, suscite de fortes tensions dans un milieu professionnel qui a très peu fait cas de ce qui se déroulait dans les pays limitrophes, comme la France par exemple, malgré la position stratégique de Bruxelles comme capitale de l’Europe.
De nouveaux équilibres sont aujourd’hui nécessaires, ils impliquent d’interroger les représentations liées au VIH, y compris chez les professionnels, et de reconfigurer les dispositifs de prévention pour les adapter aux pratiques et aux sexualités des différents publics.
Contexte épidémiologique :
La crise idéologique de la prévention s’inscrit aussi dans le contexte d’une épidémie en recrudescence en Belgique et tout particulièrement à Bruxelles, ces dernières années.
A la veille du 1er décembre 2011, le secteur VIH et les politiques se réveille groggy face aux chiffres de l’épidémie avancés par l’Institut de Santé Public (ISP) et l’évolution inquiétante de l’épidémie.
Le décalage entre les chiffres et les stratégies de prévention se creuse de manière patente.
En tout état de cause, les résistances contre-productive de la part des opérateurs historiques (( subventionnées, ndlr ajoute…)) de la lutte contre le VIH en Belgique contribuent à retarder l’impact de la prévention sur l’épidémie.
Les acteurs de la prévention peinent d’une part à mesurer leur responsabilité face à cette situation et d’autre part à engager une réflexion en profondeur pour adapter leurs moyens d’action : dépasser une prévention d’arrière-garde, sous forme de campagnes, de flyers et de distribution massive de préservatifs et faisant l’économie d’un réel travail relationnel auprès et parmi les publics infectés et concernés.
Contexte associatif :
Les tensions associatives relatives aux enjeux des nouveaux paradigmes de prévention doivent aussi être comprises à l’aune de l’émergence de nouvelles associations et initiatives.
La présence de Warning Bruxelles depuis les années 2009 a considérablement impacté la donne préventive sur le terrain bruxellois.
Association à fort ancrage communautaire (présente et émanant du terrain), elle revendique une parole séropositive en ligne directe avec les principes GIPA.
Warning Bruxelles est aussi la première à militer pour une extension conséquente de l’offre de dépistage en Belgique (notamment en lançant une pétition pour qu’il soit déclaré « grande cause fédérale » à l’occasion de la Belgian gay pride en mai 2011), à promouvoir le traitement comme prévention et la santé anale.
La réappropriation de cette parole, que ce soit au sein de l’aperosero hebdomadaire organisé par l’association dans des bars gays du centre-ville de Bruxelles, ou au sein des réunions et différentes instances du secteur de la prévention, n’est pas sans créer des remous.
Parler de sa séropositivité, l’afficher publiquement, avoir un avis sur les discours et dispositifs de prévention, remettre en question le pouvoir médical et revendiquer des droits quand on est séropositif était encore en 2012 une démarche tabou en Belgique et largement transgressive pour la plupart des associations ( subventionnées, ndlr ajoute…) qui se sont habituées à parler à la place puis à confisquer la parole des personnes infectées.
Les groupes de personnes séropositives dans les associations classiques de prévention sont soit encore tenus secrets ou sollicités par pure forme pour donner des avis consultatifs sur les campagnes de prévention en élaboration.
Il est vite fait pour certaines associations de revendiquer la prise en compte des principes GIPA alors que les séropositifs sont encore souvent tenus à une place le plus souvent anecdotique et misérabiliste.
Cette libération progressive de la parole séropositive initiée par l’association Warning a favorisé la création et la mise en place d’un HIV-Café au sein de la coupole francophone des associations LGBT de Bruxelles.
La création de l’association Pink+ prend également place dans ce contexte de redéfinition de la donne préventive et de la place occupée par les personnes séropositives au sein des associations et dans les débats publics qui les concernent.
La volonté de ses fondateurs est de proposer une prévention plus adaptée, de diversifier et d’enrichir les réponses à apporter, d’améliorer les dispositifs de prévention et d’accroître les connaissances des publics concernés.
Il s’agit aussi d’investir les terrains (les lieux de fêtes, de drague, de rencontres sociales et sexuelles) mais en inscrivant les interventions dans une démarche relationnelle de qualité et dans l’intention d’identifier les pratiques et modes de vie des publics cibles….Valérie Laloux Vice-présidente Pink+ …./….
ICCARRE : si Moins c’est Bien c’est Mieux.
http://www.valas.fr/Jacques-Leibowi…,230
http://www.valas.fr/Jacques-Leibowi…,163 (1e mouture, avant les annexes et le livre -conférence)
http://www.valas.fr/Professeur-Jacq…,137
http://www.valas.fr/Jean-Jacques-Ku…,127
http://www.valas.fr/Jean-Jacquies-K…,123
http://www.valas.fr/Jean-Jacques-Ku…,106
http://www.valas.fr/Jean-Jacques-Ku… ; ;ur-de-la-vie,177
http://www.valas.fr/Les-amours-entr…,112
Documents joints
annexe II comment le virus s y prend comment (…)
Grenelle SIDA et pont d Iccarre
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7 bis le pont d’Icarre et le grenelle du (…)
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mardi 11 octobre 2011 à 10h00 - par patrick valas
Jacques Leibowitch, POUR EN FINIR AVEC LE SIDA.
Le livre événement du Jacques Leibowitch Professeur Assistant Emérite Université Versailles Saint Quentin. Attaché Hôpital Raymond Poincaré, Garches, 92380.
Mondialement reconnu pour ses travaux sur le Sida, J. Leibowitch (codécouvreur du virus HIV, praticien hospitalier, initiateur des trithérapies), nous annonce aujourd’hui, que l’on ne meurt plus du Sida. Que sous traitement on n’est plus contaminant.
Que celui-ci est allégé à deux jours de prise des médicaments anti-HIV, et qu’ainsi il n’est plus invalidant.
Personne ne peut ignorer le pas franchi aujourd’hui par ces travaux menés en équipe, et surtout pas les psychanalystes qui savent bien, comme le rappelait Lacan, que les maladies sexuellement
transmissibles ont des effets sur la structure du désir.
Sur le site, et en exclusivité, les annexes publiées hors livre, seront régulièrement mise à jour, par le Professeur Leibowitch.
Patrick Valas
Jacques Leibowitch In Wikipedia (version française).
’’ ’Jacques Leibowitch’’’ ((1er Août né en 1942) est un médecin et chercheur clinique connu pour ses contributions à la connaissance et le traitement des [1] et [2], en commençant par sa désignation initiale de un être humain [3] comme la cause du SIDA, et son utilisation de la révolutionnaire [4] pour le contrôle efficace du VIH chez le patient. Un médecin exerçant dans le département d’infectiologie de la [5] de [6] (dirigé par le professeur Christian Perronne, AP-HP), professeur d’université émérite, il dirige actuellement le ICCARRE de programme de traitement qui propose une réduction spectaculaire de la consommation hebdomadaire de médicaments anti-VIH, en baisse de 2-3 pilules anti-viraux un jour pris 2 ou 3 ou 4 jours par semaine, par opposition aux présentement recommandées sept jours par semaine, comme toujours universellement prescrit. Ces dosages médicaux réduits sont adéquates, nécessaires et suffisantes, selon les résultats de sa recherche clinique exploratoire réalisée depuis 2003.
Il est l’auteur des livres "Un virus étrange Venu d’ailleurs" (’’ Un étrange virus d’origine inconnue’’) [ http://www.plon.fr/ouvrage/pour-en-… ’’ Verser en finir Avec le sida’’, Jacques Leibowitch 2011, sur le site de de l’édition Plon. Consulté le 10/01/2013] ref>, et « Pour en finir Avec le sida" (’’ Mettre fin au sida’’) [ http://www.decitre.fr/livres/un-vir… « Un étrange virus Venu d’ailleurs », Grasset 1984] ref>.
Biographie == ==
Jacques Leibowitch fait ses études de médecine à Paris (1960-1968), et a fait sa formation de médecin des hôpitaux de l’AP-HP (1969-1979), où il s’est spécialisé en immunologie clinique, notamment à l’hôpital Necker avec le professeur Jean Hamburger.
Il a acquis sa première expérience dans la recherche en 1962 à l’hôpital Bellevue de New York, pour revenir plus tard aux Etats-Unis pour un programme de recherche post-doctoral à la Harvard Medical School (Pr John David, Hôpital Robert Brigham, Boston, 1970-1972), où il a étudié cellulaire immunology[ http://www.histrecmed.fr/index.php?… Entretien Avec Jacques Leibowitch Réalisé par J.-F. Picard en mai 2001 sur le site de histrecmed] ref>. A son retour à Paris, il a terminé son stage et a continué à la recherche Biologie du complément humain à l’Hôpital Hammersmith Royal, Londres post-universitaire registraire médicale (Pr Keith Peters, 1973-1974), avant d’entreprendre sa résidence principal en néphrologie à Necker , entrée à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches en tant que chargé de cours d’immunologie (1980).
Jacques Leibowitch a publié de nombreux [ http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/… articles dans des revues scientifiques internationales] qui peuvent être consultés sur Pubmed.
== Contributions scientifiques et médicaux ==
Les contributions de Jacques Leibowitch ont marqué l’histoire du VIH et du sida et leur de traitement [ Jacques Leibowitch, Pour en finir avec le SIDA. Les contributions de Jacques Leibowitch’’ Verser en finir Avec le sida’’, sur le site de Patrick de Vallas. Consulté le 10/01/2013] ref> :
* En 1982, il a exposé l’hypothèse qu’une CD4 trope rétro-virus exotique pourrait être à l’origine de l’épidémie de sida et de mettre les équipes Montagnier et de Gallo sur la piste du virus
* En 1984-1985, il a enlevé du centre de transfusion sanguine de l’hôpital Cochin le VIH contaminé des échantillons de sang, en utilisant un test rapidement développé sous l’urgence de la situation par le Dr Dominique Mathez, principal collaborateur de Leibowitch à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches, en anticipant l’ tests de dépistage à grande échelle.
* Leibowitch et le Dr Mathez a développé un système de dosage biologique fait maison pour mesurer précisément les niveaux de virus actif dans le patient avant et sous traitement, ce qui démontre l’efficacité à la fois maigre et transitoire de la AZT antiviral en monothérapie.
* Il est le père de l’Europe des premiers traitements anti-VIH combinant trois molécules anti-virales (traitement tri-thérapie) pour le contrôle à long terme du VIH chez le patient correctement traité.
* De 2003 à 2014, il a montré que, après une période minimale de six mois sur sept jours par semaine de traitement « d’attaque » classique, la prise de médicaments anti-virale hebdomadaire pourrait être réduite de 40 à 80%, tout en maintenant un contrôle optimal sur HIV du patient.
=== Découverte du rétro-virus VIH ===
Jacques Leibowitch est au centre de la recherche sur le sida depuis le début de l’épidémie d’origine, à partir du moment même où l’enquête sur son agent causal a été lancé. Lorsque la première série de cas de sida aux États-Unis ont été publiés dans le New England Journal of Medicine et le Lancet en Décembre 1981 Leibowitch remarqué la similitude entre les cas décrits dans les États-Unis et le cas historique d’un syndrome d’infection multiples opportuniste chez un résident du Portugal à Paris qui avait passé du temps en Angola et au Mozambique entre 1973 -76. Il a ensuite été contacté par Willy Rozenbaum in Mars 1982 à mettre en place le Groupe de travail informel français SIDA, un organisme d’auto-désigné pour analyser les cas qui apparaissent en France.
Quand en Juillet 1982, les premiers cas de sida apparaissent chez les hémophiles recevant des échantillons de sang très filtrés, la communauté scientifique s’est rendu compte que l’agent causal du sida a été probablement causée par un virus. Jacques Leibowitch remarqué quelques similitudes intéressantes entre le sida et la pathologie liée à HTLV (Human T Cell Leukemia Lymphoma Virus), le rétro-virus humain connu seulement à ce moment-là. Les deux situations affectent les cellules T CD4 aide de lymphocytes. HTLV induit la prolifération massive d’un ou plusieurs clones et de leur cancérisation, tandis que l’autre virus, le virus du VIH apparaît tend à éliminer ces cellules sans discrimination apparente Un Entretien avec le Docteur J. Leibowitch,’’ Le Panorama du Médecin " ’n o 1507, 8 octobre 1982 ref>. Sinon, ces deux descriptions pathologiques sont présents en Afrique et dans les Caraïbes (cf. Un étrange virus d’origine inconnue Jacques Leibowitch, Ballantine Books, New York, 1985, traduit de l’Un Virus Etrange Venu d’Ailleurs, Grasset Paris 1984). En effet, à Paris et à Bruxelles, les médecins ont vu des cas de patients ayant vécu ou séjourné en Afrique francophone ou en Haïti qui souffrait d’une maladie avec une ressemblance indéniable à celle qui résulte à la fois aux Etats-Unis dans les « homosexuels immunodéficientes ". Leibowitch, informé par l’auteur littéraire franco-américaine Gilles Barbedette de l’annonce faite par Robert Gallo dans médicale Nouvelles du monde (1er Août 1982) qu’un rétro-virus de type HTLV pourrait être à l’origine du sida, a trouvé dans ce mémoire la plus succincte le profil correspondant à son suspect de CD4 tropisme exotique virale (dans Grasset, Ballantine Books, fonctionne S citée). L’inspiration rétro-virale a donc été consolidée et ouverte entre Bethesda (Gallo) et Paris (Leibowitch et al.) à partir de Août 1982.
A défaut de trouver dans l’équipe du Professeur Jean Paris-Paul Lévy [ http://www.histrecmed.fr/index.php?… Entretien avec Jean-Paul Lévy Réalisé par Anne Lévy-Viet et Jean-François Picard, janvier 1992-décembre 2001, paragraphe »Maïs vous-Même, Vous aviez receipt la visite des cliniciens à Cochin" sur le site de histrecmed] ref> ou Lille équipe de Dominique Stehelin un spécialiste rétro-virus français désireux de poursuivre cette ligne d’enquête, il a contacté suite à une recommandation de Jean-Paul Lévy professeur [7] [ http://history.nih.gov/NIHInOwnWord… Entretien avec Robert Gallo Réalisé par Victoria A. Harden et Dennis Rodrigues le 4 novembre 1994 sur le site de de l’exercice du NIH Histoire] ref> à Bethesda, alors virologue de renommée mondiale sur HTLV. Il était alors en Novembre 1982, que Gallo a informé de Bethesda de ses conclusions initiales de virologie en accord avec les hypothèses de virus de type HTLV sida. Pour sa part, Willy Rozenbaum, a averti en privé par Leibowitch qu’un Qué exotique de type HTLV rétrovirus pourrait bien être la cause du sida, se lance dans une collaboration discrète avec l’équipe Luc Montagnier de l’Institut Pasteur. Montagnier, avec son collaborateur Jean-Claude Chermann, avait récemment reçu des nouvelles de l’HTLV et hypothèses SIDA par le Dr Paul Prunet, alors directeur de « Recherche & Développement » chez Sanofi-Pasteur-Marnes La Coquette, où Leibowitch avait donné un discours à la fin de Novembre 1982 [ comprendre la vie ou comprendre les maladies avec petit retoursur l’histoire de la recherche sur le SIDA en France Paul Prunet,’’ Comprendre la Vie et ous Comprendre Les maladies. Avec petit retour sur l’histoire de la Recherche sur le sida en France’’ sur le site de de Patrick Valas] ref>. L’équipe Montagnier a été détectée ultérieurement dans la culture de cellules de patients BRU les traces du premier rétrovirus HTLV non en Janvier 1983, un virus éventuellement reconnu comme la cause de la lutte contre le sida grâce à des ajouts concluants par Robert Gallo et son groupe (avril 1984) [ http://quod.lib.umich.edu/c/cohenai… ;rgn=full+text ;size=100 ;view=image’’Memo Regarding Résumé chronologique des expériences menant à l’isolement de HTLV-III du SIDA et ARC’’ sur le site de la Collection de la recherche Jon Cohen sida, 2 pages] ref>. [8] et Françoise Barré-Sinoussi a reçu le prix Nobel de médecine en 2008 pour leur travail. Dans une lettre à la prestigieuse revue Nature Medicine en 2003, ainsi que dans son discours d’acceptation du prix Nobel en 2008, Luc Montagnier reconnaît Jacques Leibowitch comme étant l’initiateur de l’hypothèse de rétro-virus en France [ http://www.nature.com/nm/journal/v9… Luc Montagnier, 2003,’’ l’exactitude historique de l’isolement du VIH’’, Nature Medicine 9],[ http://www.nobelprize.org/nobel_pri… Luc Montagnier, prix Nobel’’ conférence’’, 2008] ref>. Toutefois, la liste breveté des découvreurs du sida et du VIH ne prennent pas Jacques Leibowitch en compte pour sa contribution dans les phases initiales de la découverte. L’historien scientifique [9] réfléchit sur les détails des étapes qui ont mené à la découverte du virus du sida dans son ouvrage "l’histoire du sida » et la [ http://www.joncohen.org/Jon_Cohen/a… collection de recherche de Jon Cohen SIDA] contient de nombreux documents d’archives sur le sujet. Le livre "Sida.O" (AIDS.O) écrit par D. Lestrade et G.Pialoux contient aussi beaucoup de détails sur l’histoire de sida [ http://www.fleuvenoir.fr/site/sida_… Didier Lestrade et Gilles Pialoux,’’ Sida 2.0, Regards croisés sur 30 ans d’pandémie juin’’] ref>.
=== Détection et élimination de sang contaminé au VIH positif à Garches et à Cochin ===
En 1984, tandis que Luc Montagnier travaille à l’Institut Pasteur sur un test industriel des anticorps du VIH, Dominique Mathez et Jacques Leibowitch travaillent à Garches pour élaborer un test de travail sur les cellules tumorales infectées par le HTLV-III qui leur est donnée par le Pr Daniel Zagury à l’Université de Paris au nom de Robert Gallo. L’utilisation de ce test artisan, Mathez et Leibowitch découvrir une fréquence inquiétante de personnes contaminées par le rétro-virus parmi les bénéficiaires de polytranfusion, et plus tard, en collaboration avec le Dr François Pinon, responsable des transfusions à l’hôpital Cochin, vont à la découverte, la alarmant proportion des donneurs de sang positifs HT (1 à 200) dans une étude pilote menée sur formatnum : 10000 donateurs dans le Paris et la région Ile-de-France. Les autorités de santé ont été alertés sur cette question avec leurs conséquences dramatiques pour les hémophiles (« si l’étude hôpital Cochin est correcte, alors toutes les actions anti-hémophiles sont contaminés … », Jean-Baptiste Brunet à l’Annuaire général français de la Santé, Mars 1985 13[ http://www.larecherche.fr/actualite… ’’Retour sur l’affaire du sang-contaminated’’ par Catherine Manuel et Pascal Auquier, 06/01/1996, le site de’’ La Recherche’’] ref>). C’est grâce à ce test artisanale que 50 dons de sang séropositifs, alors établis à 100% contamination, ont été retirés du processus de transfusion, et 150 récepteurs potentiels de ce sang ont été protégés de la contamination [ http://www.liberation.fr/societe/19…e-jour-des-lenteurs-organisees-par-nos-ministres-contaminee-par-transfu_265222 ’’Le procès du sang contaminated. 5e jour’’ par Eric Favereau et Armelle Thoraval,’’ Libération’’ le 17/02/1999] ref>.
=== Mesure de la charge virale chez les patients et l’évaluation de l’efficacité du traitement ===
A Garches, Dominique Mathez et Jacques Leibowitch point un test biologique sophistiquée et fiable leur permettant de quantifier les niveaux de virus VIH actifs chez les patients avant et pendant leur traitement antiviral. En effet, à partir de 1987, les patients en France les plus touchées par le virus reçoivent un traitement AZT dans l’espoir que cette molécule pourrait bloquer la reproduction du virus. C’était dans le but de surveiller la baisse progressive des niveaux de virus chez le patient traité que l’équipe de Garches travaille sur leur méthode. Leibowitch présente à des spécialistes mondiaux réunis pour la conférence à Marnes la Coquette (Pasteur-les Cent Gardes colloque, Novembre 1989) ses résultats montrant que la monothérapie AZT devient rapidement inefficace comme en témoigne le retour des niveaux viraux chez le patient traité, bien que dans le premier mois ces niveaux étaient significativement, mais uniquement de façon transitoire, réduits. La mesure de la charge virale du VIH est plus tard pour devenir, dans sa version commerciale et industrielle, le test universellement utilisé pour suivre l’évolution du virus et l’efficacité des différents traitements. En outre, Jacques Leibowitch est le premier en France à recueillir des échantillons de cellules séquentielles de patients à suivre, de conservation des échantillons de cellules vivantes à des températures extrêmement basses depuis 1982. Cette banque en direct congelé cellule deviendra plus tard un précieux pour les enquêtes scientifiques rétrospectives.
=== essais tri-thérapie Premières fonction des niveaux viraux point final, "essais Stalingrad, les rétrovirus assiégées » (Libération, Août 2013) ===
Jacques Leibowitch est le père des traitements tri-thérapie dans l’Europe [ http://www.liberation.fr/culture/20… ’’ Essai "Stalingrad" , le virus assiégé par Eric Favereau’’,’’ Libération’’ du 3 et 4 août 2013] ref>. Après l’échec de monothérapie à l’AZT pour contrôler le VIH chez le patient, le traitement antiviral double (bi-thérapie) se révèle bientôt dans Mathez et essai pionnier Leibowitch être à peine plus efficace, grâce à la preuve présentée par le test de charge virale à Garches. C’est à ce moment, en 1994, une nouvelle famille de médicaments anti-VIH émerge : les anti-protéases.
Ayant observé in vitro les résultats spectaculaires de trois analogues combinés anti-VIH nucléosidiques (AZT +3 TC + DDI) disponibles pour une utilisation clinique au moment (juillet 1994) et vu dans les patients de l’impact antiviral le plus efficace d’une première combinaison triple jamais de nucléoside analogues (comme le montre sa virale système de quantification de la charge de maison), Jacques Leibowitch a continué à tester l’efficacité d’une nouvelle famille de médicaments anti-VIH - les anti-protéases … combinés avec des paires d’analogues nucléosidiques à former un type mixte trithérapie. Sur cette base, Leibowitch lance le Stalingrad de première instance sur la base de l’AZT + DDC + ritonavir, un essai réalisé en collaboration avec Abbott, la production industrielle de l’anti-protéase ritonavir, sous la protection de ministre de la Santé Philippe Douste Blazy, à l’extérieur l’influence de l’Agence Nationale de Recherches contre le SIDA (ANRS) [ http://editions.ehess.fr/ouvrages/o… ’’ Sida : la Course aux Molécules ’’. Sébastien Dalgalarrondo, 2004 ; éditions EHESS] ref>. Les résultats de l’essai Stalingrad ont souligné la grande importance de mesurer la charge virale en temps réel chez le patient afin d’évaluer l’impact d’un traitement antiviral donné. Le succès de ce premier traitement tri-thérapie dans le monde est présenté, ainsi que celle d’un autre tri-thérapie réalisée par le groupe Merck, lors du Congrès de Washington en Février 1996. Les résultats sont publiés dans une revue scientifique en 1997 [ http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/… réductions de la charge virale et une augmentation du nombre de lymphocytes T chez des patients naïfs de traitement à un stade avancé du VIH- 1 infection traitée avec le ritonavir, zidovudine et la trithérapie zalcitabine,’’ Antivir Ther 1997’’ juillet ;. 2 (3) :175-83] ref>.
Le traitement tri-thérapie a depuis été annoncé un tournant majeur dans l’histoire du traitement de l’infection à VIH.
=== Vers un ajustement des traitements d’entretien à des doses adéquates et suffisantes avec le programme de ICCARRE ===
Depuis 2003, Jacques Leibowitch a mené une étude pilote visant à diminuer les doses anti-VIH dans les cycles hebdomadaires. Avec ICCARRE [ http://www.iccarre.org/ En savoir plus sur le protocole ICCARRE sur le site de Dédié] ref> (abréviation française : intermittent, en cycles courts, la lutte contre Rétroviraux peut conserver l’efficacité), un peu moins d’une centaine de patients séropositifs à l’hôpital Raymond Poincaré ont subi la réduction du traitement d’entretien de traitement réduit de 4, ou 3, ou 2, ou même un jour par semaine, au lieu de les dosages actuellement universellement obligatoire de 7 jours sur 7, sans la virus réapparaître. ICCARRE doit encore être validée par les organismes de réglementation comme un régime anti-VIH préconisé ; ont été ses dosages et des recommandations à confirmer dans les futurs essais cliniques prospectifs, l’étude de ICCARRE ouvrirait une nouvelle voie dans le traitement à long terme de lutte contre le VIH.
Selon le régime de ICCARRE : après une période initiale au début de laquelle le contrôle de niveaux rétro-virale nécessite 7 jours par semaine « traitement d’attaque » pendant un semestre ou plus, des doses anti-virales hebdomadaires, nécessaire et suffisante pour parvenir efficace à long contrôle à long terme du virus, peut être administré en dose hebdomadaire réduit, un tel régime offre un certain nombre d’avantages, y compris : l’adhésion à la principale déontologique de ne pas dépasser les doses de médicaments nécessaires ; minimisation des effets toxiques de ces traitements chimiques lourds sur une longue période terme, l’amélioration de l’acceptation du patient désireux d’un traitement efficace grâce à un programme physiologiquement et psychologiquement plus acceptable, la réduction de 40 à 80% des traitements qui deviennent exorbitants coûteuse sur le long terme. Les premiers résultats de l’étude de ICCARRE sur 48 patients de Garches ont été publiés en 2010 [ http://www.fasebj.org/content/24/6/… courts cycles de médicaments antirétroviraux fournissent intermittent traitement encore efficace : une étude pilote chez 48 patients atteints d’une infection chronique par le VIH,’’’’ FASEB J., 2010, Leibowitch’’ et al’’] ref>, comme étaient ceux de trois autres essais de retrait de ce type. avec des shorts cycles effectués avec succès par [10]’’ et al.’’ [ http://www.pnas.org/content/98/26/1… cycle court traitement intermittent structuré de infection chronique par le VIH sous traitement antirétroviral hautement actif. effets sur virologique, immunologique, et les paramètres de toxicité,’’’’ PNAS, 2001, Dybul’’ et al’’] ref> , [ http://www.jstor.org/stable/30076801 Une étude de cycle court traitement antirétroviral intermittent preuve de concept avec un régime une fois par jour de la didanosine, la lamivudine et l’éfavirenz pour le traitement de l’infection chronique par le VIH,’’ JID ’’ 2004, Dybul’’ et al.’’] ref> , [ http://www.plosone.org/article/info… Une étude randomisée, contrôlée, procès de cycle court intermittent par rapport à la thérapie antirétrovirale continue pour le traitement de l’infection à VIH en Ouganda,’’ Plos One’’, 2010, Reynolds’’ et al.’’] ref>, au NIH NIAID aux États-Unis.
Dans son interview du 1er Décembre 2011 sur BFM Business, et ses apparitions dans l’émission de télévision de Michel Drucker (24’’ Vivement dimanche’’ mai 2013 [ http://www.france2.fr/emissions/viv… émission’’ Vivement dimanche du 24 mai 2013’’ sur le site de France2 de] ref>) et Laurent Ruquier (’’ sur les aires protégées de N’Est couchés’’ 15th Juin 2013 [ http://lemediascope.fr/video-france… Video ’’ France 2-Ruquier/le Pr Jacques Leibowitch’’ "On N’Est couchés de pas" (15 JUIN 2013), sur le site de Le Mediascope, consulté le 10/01/2013] ref>), Jacques Leibowitch a a présenté son programme de « cycles courts » futés, qui se distinguent des recommandations actuelles, qui prônent la consommation de médicaments sur 7 jours sur 7 [ http://www.podcasters.fr/episodes/b… BFM Business : Professeur Jacques Leibowitch] ref> , Lien web | auteur = | titre = Leibowitch chez Drucker. Retranscription sur le site de séro-on-line | url = http://www.sero-on-line.org/forum/v… | consulté le = 7 août 2013 ref>.
Distinctions == ==
* Chevalier de la Légion d’honneur 1993
Publications == ==
* Un étrange virus Venu d’Ailleurs Jacques Leibowitch, Grasset, 1984 ; traduit pour Ballentine Books, New York, 1985 comme : Un étrange virus d’origine inconnue),
* Verser En Finir Avec Le SIDA (Mettre fin au sida), Jacques Leibowitch, Plon, 2011
Références == ==
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