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jeudi 12 juin 2014
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Patrick Valas, Essai sur le corps, en médecine, biologie et psychanalyse. En français et en espagnol.
Freud et Lacan avancent que le corps du parlêtre présente « une sensibilité
particulière, constitutionnelle au langage ».
En aucun cas ils ne font du langage un organe du corps.
Lalangue est déjà là avant notre naissance et elle sera là après notre mort.
Elle colonise le corps en parasitant sa jouissance, tout en l’animant.
Nous ne savons pas pourquoi il est le seul être au monde à posséder un langage articulé.